COMMENT SE MARIER SELON MALACHIE 4

 

 

INTRODUCTION



Bien-aimés jeunes gens et jeunes filles chrétiens, au travers de ce travail sur « COMMENT SE MARIER SELON MALACHIE 4 ou LES ÉTAPES DU MARIAGE SELON MALACHIE 4, » nous avons voulu aborder un sujet très important. En effet, depuis le commencement, précisément depuis la chute de l’homme en Eden jusqu’à une époque récente, c’est-à-dire, où Dieu nous a envoyé un prophète, d’épaisses ténèbres couvraient la question. Dieu, bien entendu, jetait à chaque portion de temps un peu de lumière pour que les élus sachent comment se comporter. La pleine lumière sur le mariage, résultat des prophéties se rapportant à notre temps, éclaire amplement et renseigne suffisamment les élus du dernier âge dans l’approche spirituelle du mariage.

 

William Marrion Branham nous dit dans « Mariage et Divorce » § 88  : « Dieu nous a donné un remède et une façon d’épouser nos femmes et de vivre avec elles, mais l’homme ne veut pas accepter Sa Parole à ce sujet.» Jésus a dit ceci ; cela nous rappelle ce qu’il en est de Ses Paroles sachant qu’Il a dit : « Les cieux et la terre failliront, passeront, mais les Miennes ne failliront pas. »



Puisse le Saint-Esprit Lui-même vous éclairer davantage.

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Témoignage de frère W.M. Branham sur le Mariage, y compris le sien.

 

1        L’HISTOIRE DE MA VIE – Los Angeles, 19.04.1959

 

Page 21, § 1 … L’une des meilleures choses que Dieu puisse donner à un homme est une épouse. En dehors du salut, une femme est la meilleure chose, si c’est une femme droite. Si ce n’est pas le cas, Salomon a dit : « Une épouse est joyau sur la couronne d’un homme, mais une femme dépravée ou une femme mauvaise c’est de l’eau dans son sang. » C’est vrai. C’est la pire chose qui puisse arriver. Ainsi, une femme bonne … Si vous avez reçu une bonne épouse, frère, vous devez la respecter du mieux que vous le pouvez. C’est vrai, vous devriez faire cela. Une vraie femme ! Et les enfants, si vous avez une vraie mère qui reste à la maison et qui essaie de prendre soin de vous, gardant vos habits propres, gardant vos vêtements propres, vous envoyant à l’école, vous enseignant au sujet de JÉSUS, vous devez respecter cette femme, certainement c’est une vraie mère.


2         JEHOVAH JIREH – 7 juillet 1962


§ 15 J’espère que chaque jeune ici présent, quand il va se marier, trouvera une épouse et qu’ils vivront aussi heureux que mon épouse et moi pendant ces 22 ans de mariage que nous avons vécus.

§ 16 « Celui qui a trouvé une épouse a trouvé le bonheur » comme dit Salomon: « une bonne épouse est un joyau de la couronne d’un homme. Celle qui est impie est semblable à l’eau dans son sang. » Et le sang de l’homme, c’est sa vie. Une impie est la pire chose qu’il puisse avoir. Et celle qui est pieuse est la meilleure qu’il puisse avoir en dehors du salut. Si Dieu pouvait donner à un homme une chose meilleure qu’une épouse, Il la lui aurait donnée puisque Dieu ne donne que des bonnes choses à Ses enfants et IL lui a donné une bonne épouse et j’en suis reconnaissant.


3        TOURNEZ LES REGARDS VERS JÉSUS – 29.12.1963 § 137

… Je ne crois pas qu’il puisse y avoir une meilleure épouse au monde que la mienne, j’espère qu’elle restera toujours ainsi. Et je veux être un mari fidèle et j’espère que chaque jeune homme dans ce bâtiment, quand il se mariera aura une épouse comme la mienne. Je ne sais pas combien de temps nous vivrons comme cela,  mais j’espère que ce sera pour le reste de nos jours sur la terre. Nous avons été très heureux ensemble.

C’est Dieu qui m'a dit de l’épouser au moment même (elle ne le savait pas) où j’essayais de ne pas l’épouser. Non, parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne pensais pas lui donner de quoi vivre, et qu’elle était brave, je ne méritais pas cela. Et elle se mit à prier et ouvrit sa Bible… Elle dit : « Seigneur, je n’ai jamais fait ceci auparavant mais donne-moi un passage de l’Ecriture qui m’aidera. Si je dois l’oublier, je le ferai. » Elle ouvrit la Bible, elle reçut Malachie 4 « Voici, Je vous enverrai Elie le Prophète. » C’était il y a 20 ans alors qu’elle ne savait rien du ministère de ce jour.


Et j’étais couché là-bas, au bord de la rivière, lorsqu’une nuit, IL me réveilla. Je L’entendis là près de la porte, Il dit : « Va et prends-la, ton mariage sera le 23 octobre prochain. » C’est exactement ce que j’ai fait. Nous avons vécu heureux. Par la grâce de Dieu, nous n’avons jamais eu une parole de dispute… Elle a été un amour.

 

RÉFÉRENCES BIBLIQUES :


1.      GENÈSE 2 : 18 – 24 « L’Eternel Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul ; Je lui ferai une aide semblable à lui. L’Eternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et Il les fit venir vers l’homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme. Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel, et à tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. Alors l’Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit. Il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’Il avait prise de l’homme, et Il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! On l’appellera ‘femme’ parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »

 

2.      MATTHIEU 19:5-6 ... “Et qu’Il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. »



Question posée à frère Branham :


QUESTIONS ET RÉPONSES N° 2 – 29.08.1964 P. 9, § 39, Q/n° 36 :

 

TRÈS URGENT. FRÈRE BRANHAM, SACHANT QUE LE TEMPS TIRE A SA FIN, ET QUE L’ÉTERNITÉ PREND PLACE, QUE CONSEILLERIEZ-VOUS A UN COUPLE QUI PROJETTE LE MARIAGE ?

Rép. : - Allez de l’avant et mariez-vous. Voyez-vous ? Continuez simplement comme si vous alliez vivre encore une centaine d’années sur cette terre. Allez tout simplement de l’avant ; gardez vos cœurs fixés sur Christ et non sur les choses du monde ; voyez-vous ? Allez-y, mariez-vous, enfants. Que Dieu bénisse votre mariage.



LA SOIF – 19.09.1965, p. 16, § 73


C’est comme un jeune homme et une jeune fille. Maintenant, ce n’est pas inutile ou non (je veux dire), anormal, pour un jeune homme et une jeune femme de s’aimer l’un et l’autre. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils s’aiment l’un l’autre. Et ce n’est pas anormal, c’est juste une chose naturelle pour eux de faire cela. »

 



I. QU’EST-CE QUE LE MARIAGE ?


*… LE MARIAGE EST UNE RÉVÉLATION ; LA PAROLE DE DIEU EN DEFINIT CLAIREMENT :

 

- L’UNION INVISIBLE, 25/11/1965, § 60

Le Mariage est la plus vieille institution du monde. Le Mariage eut lieu et fut institué pour la première fois au jardin d’Eden.


- MARIAGE ET DIVORCE, 21/02/1965, § 285

« Ce que Dieu a uni qu’aucun homme ne le sépare. » Pas ce que l’homme a uni ; ce que « DIEU » a uni ! Quand vous avez une RÉVÉLATION DIRECTE de Dieu comme quoi, c’est là votre femme, et vice-versa, c’est la vôtre pour le reste de la vie. Voyez ? …


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, page  23, § 106

Remarquez, le premier Adam de Dieu n’a pas pu choisir sa femme. Il n’avait pas un choix à faire. Dieu lui en fit une, il n’avait pas à la choisir. Ainsi nous voyons qu’elle l’éloigna de la Parole de Dieu. Il n’avait pas prié au sujet de cette question. IL N’EN EST PAS DE MÊME POUR VOUS ET MOI. LUI N’AVAIT PAS DE CHOIX.. ..




Est-il permis de se marier dans ce monde ?

 

 

Comme nous parlons du Mariage selon la volonté parfaite de Dieu, voyons maintenant quel genre de fille ou quel genre de garçon peux-tu envisager prendre en mariage…

 

Et Frère Branham répond :

 

- SOYEZ CERTAINS DE DIEU, 25/01/1959, P. 3, § 5-8

Et puis, lors de son mariage, au lieu d’épouser quelqu’un parmi son peuple, il alla épouser une pécheresse, une idolâtre qui adorait les idoles. Il épousa Jézabel. Et elle n’était pas une croyante.

Et jamais un croyant ne devrait épouser un incroyant ; en AUCUN CAS. On devrait toujours se marier entre croyants.

Mais Achab avait fait cette mauvaise chose. Et Jézabel était sans doute une belle femme.

Et lui s’était fait séduire par son apparence ; plutôt que par ce qu’elle était vraiment. C’est… Tant de gens commettent cette même erreur encore aujourd’hui.

Et elle avait introduit l’idolâtrie dans la nation, parmi le peuple. Et le peuple… les prêtres, les ministres avaient succombé à cette revendication populaire.


- L’INVASION DES ETATS-UNIS, 9/05/1954, §45 et 47

Achab était plus ou moins ce genre de personnes. Partout où soufflait le vent, Achab y mettait son voile ; que ce soit de ce côté-ci ou de ce côté-là. Son mariage avec une petite princesse, Jézabel, une fille de roi, le rendit complètement embrouillé. Elle était belle d’apparence, une très jolie femme, mais méchante dans son cœur. Elle était idolâtre et entraîna tout Israël.

Mais Achab, maintenant je suppose qu’il tomba amoureux d’elle seulement parce qu’elle était jolie et l’épousa. Il ne pouvait être attiré par autre chose puisque méchante comme elle l’était… Et elle vint là-bas. Bien sûr qu’il fut épris d’elle de cette manière là et l’aima. Oh, il entraîna tout Israël à pécher et à se détourner de Dieu, à renverser les autels de Dieu et à dresser des autels pour Baal.


- ET TU NE LE SAIS PAS, 15/08/1965, § 85-88

Regardez les enfants de Caïn, comme ils sont tombés dans le panneau : « Quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes », et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

Regardez, quand les femmes israélites avec – avec leurs mains calleuses et leurs cheveux raides comme des cordes ; quand les fils de Dieu sont passés par le pays de Moab, et qu’ils ont vu les femmes coquettes de là-bas, toutes bien coiffées, bien arrangées, et avec la figure pleine de manucure ou de ce machin, là ; quand ces fils de Dieu ont vu ces très belles femmes, un faux prophète a dit : « On est tous pareils. »  Et ils se sont mariés avec, et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

Ils ont péri dans le désert. Chacun d’entre eux est mort là, sans espoir, sans Dieu, et ils sont éternellement perdus ; damnés à jamais, bien qu’ils aient vu la bonté de Dieu, bien qu’ils aient bu à la fontaine intarissable. Ils avaient bu au Rocher frappé. Ils avaient vu le serpent d’airain accomplir des miracles. Ils étaient sortis du baptême de Moïse dans la mer. Ils avaient vu la main de Dieu. Ils avaient mangé de la nourriture d’anges, et fait toutes ces choses. Mais ils s’étaient mariés avec les femmes de là-bas, ils s’étaient laissés prendre par elles, et ils s’étaient mariés. Ils n’avaient pas commis adultères, ils s’étaient seulement mariés avec elles ; Dieu ne leur a jamais pardonné ça.


C’était la deuxième fois que ça arrivait. Maintenant, nous en sommes à la troisième fois, maintenant c’est plus trompeur que jamais.


- HÉBREUX Chap. 3 , 01/09/1957, §173

Un jeune homme qui se marie et qui épouse une fille qui ne croit pas ; une jeune fille qui épouse un garçon qui ne croit pas… Il ne devrait pas le faire ! Peu importe combien il est mignon et… ou elle est mignonne, et combien grands sont les yeux qu’elle a, ils finiront tous par se fermer, un de ces jours. Mais, mon frère, votre âme vivra éternellement ! Vous devrez prendre garde à ce que vous faites. Si elle n’est pas une vraie croyante ou lui n’est pas un vrai croyant, ne vous mettez pas sous pareil joug. Eloignez-vous des pareilles choses, elles vous causeront des ennuis le long du chemin.


- HÉBREUX chap. 7#2 222/09/1957, § 357-361

[Frère Branham donne ici un exemple d’une fille de son assemblée qui fréquentait un garçon mondain (païen) et se lia à lui] …

Une certaine jeune-fille ici, il n’y a pas longtemps… Ceci n’est pas une plaisanterie, car je ne raconte pas ceci en guise de plaisanterie. Et les gens savent que ceci n’est pas un endroit pour plaisanter. Mais une chère petite fille ici, elle était… il y a de bons garçons ici, des garçons chrétiens. Il y a longtemps, quand j’étais pasteur ici, nous avions l’habitude d’avoir… des classes simplement pour des jeunes hommes. Et je parlais aux jeunes filles le dimanche après-midi, au sujet du sexe et des choses semblables. Et puis, le dimanche après-midi suivant, je parlais aux jeunes gens, et j’essayais de maîtriser ces choses. Une certaine chère fille a commencé à sortir avec un certain petit gringalet, ici en ville, qui fumait des cigarettes et avait un flacon d’alcool dans sa poche, et il conduisait une petite voiture décapotable à travers les rues de la ville. Je ne pouvais pas comprendre ce qu’elle a bien trouvé dans ce garçon. Il ne voulait pas venir à l’église. Et il restait assis là-dehors ; il l’amenait à l’église et il s’asseyait là dehors, dans sa voiture et attendait ; il ne voulait pas entrer dans l’église. Un jour, j’ai dit à cette fille… Elle habitait à New Albany… J’ai dit : « Je vais te demander quelque chose, petite. Qu’est-ce que tu peux donc bien trouver à ce garçon-là ? »

J’ai dit : « Premièrement, il hait la religion même que tu as. Il méprise Ton Christ. Il ne fera jamais un mari pour toi, te rendra misérable toute ta vie. » Et j’ai dit : « Alors qu’il y a tous ces braves jeunes garçons chrétiens que tu pourrais fréquenter, et ils sont… Ton papa et ta maman n’aiment pas du tout te voir sortir. Mais tu y vas de toute manière et tu penses : J’ai le bel âge : 16 ans !

Elle a commencé à se maquiller et à courir, et avant qu’elle ne s’en aperçoive, elle était dans les boîtes de nuit. Elle est dans l’éternité maintenant. Mais alors, elle se tenait ici et savez-vous quelle raison cette jeune fille m’a donnée alors, d’aimer ce garçon ?  Elle a dit : « Il a de si mignons petits pieds, et il sent si bon !»  Pouvez-vous imaginer cela ? Il se parfumait ; ça c’est une femmelette, pas un homme !

« Ecoutez, ai-je dit, Sœur, je préfèrerais aller avec un garçon chrétien qui aurait des pieds comme des wagons à gravier et qui sentirait comme un putois, si c’était un vrai chrétien. » C’est vrai.  Oui, c’est vrai ! Oh, cette excuse : « de si mignons petits pieds, et il sent si bon ! » Le petit coureur de boîtes de nuit. Finalement, il a ruiné la vie de la fille. C’est une honte. Ignoble ! »

 

- REGARDANT A L’INVISIBLE, 03/10/1958, § 11-12

Maintenant, « l’homme ne vivra pas de pain seulement» a dit le Seigneur, « mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Et l’homme, être humain physique, prendre soin de cet être physique cela n’est pas la seule raison pour laquelle Dieu l’a placé sur la terre. Parce que ce qu’il fait avec son être physique signifie très peu de choses. C’est son âme qui compte. C’est l’homme intérieur qui ne provient pas de la terre, il vient du ciel, et c’est la partie éternelle de l’être humain.

Mais pourtant, il est étrange qu’il essaie d’arriver à comprendre sa propre voie. Et nous trouvons cela tellement dans les Ecritures ; que quand un homme choisit de marcher dans sa propre voie et de faire ce qui lui semble bon, Dieu l’abandonne tout simplement… L’homme ne doit pas penser de lui-même, mais il doit laisser la Pensée qui était en Christ être en lui. Nous ne devons pas penser de nous-mêmes. Nous devons considérer toute autre chose contraire à ce qu’IL a dit, comme si cela n’existait pas, peu importe ce que nos yeux déclarent être. Nous ne vivons pas de ce que nous voyons ; nous vivons de ce que nous croyons.

Il y a de cela quelques jours, j’étais en train de suivre un programme à la radio, venant d’une école du dimanche et c’était une discussion autour d’une table avec les adolescents de Louisville. Un – quelle en était l’une des choses les plus importantes : C’était pour une jeune fille de trouver un garçon aux cheveux bouclés (frisés) ou pour le garçon, la fille avec de beaux yeux bleus ou bruns ? Est-ce que cela fait une différence ? ça semblait comme si cela aurait été la plus grande chose pour un adolescent. Mais cela n’est pas la plus grande chose. [  La plus grande chose, c’est de trouver votre Dieu, votre Créateur.

Ne contractez pas de mariage mixte. Mariez-vous à un garçon qui croit juste exactement comme vous le faites, car, après tout, Dieu est la chose principale pour Laquelle nous sommes sur la terre et le plus important est de Le servir. Et si vous vous mariez à quelque chose de contraire à cela, vous paierez pour cela dans les jours qui sont devant vous. Vous devez toujours vous rappeler, que c’est par la foi et non par la vue. Le juste vivra par la foi. Et nous regardons à l’invisible.]


ET LE PROPHÈTE VA PLUS LOIN DISANT QUE L’ON NE DOIT SE MARIER QU’AVEC UN GARCON OU UNE FILLE NÉ(E) DE NOUVEAU, ET NE PAS PRÊTER ATTENTION A L’APPARENCE EXTÉRIEURE

 

DEUX CRITÈRES SONT OBLIGATOIREMENT EXIGÉS :


-          LA NOUVELLE NAISSANCE ET

-          S’IL (ELLE) A ÉTÉ FAIT(E) POUR TOI.

 

- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, §35b, 37

Et je pense que nous devrions… Un homme qui a du bon sens et qui planifie un futur, devrait choisir cette femme très soigneusement ; soyez prudent dans ce que vous faites. Et une femme qui choisit un mari ou qui accepte le choix d’un mari, devrait être très prudente dans ce qu’elle fait, et surtout en ces jours-ci. L’homme devrait bien réfléchir et prier avant de choisir sa femme.

Et nous voyons que si l’homme et la femme priaient à ce sujet, - plutôt que de considérer ce beau regard des femmes ou cette carrure des épaules d’hommes ou à d’autres choses de ce genre, toute autre affection charnelle, mais s’il regardait d’abord à Dieu pour Lui demander : « O Dieu, est-ce là Ton Plan ? »


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, §47b, 49

… Pouviez-vous imaginer qu’un chrétien puisse agir de la sorte ? Non, monsieur, je ne le pense pas. Un véritable chrétien ne cherchera pas de telles reines de beauté, des chanteuses de cabarets et des reines du sexe. Il cherchera un Caractère Chrétien. Or, vous ne pouvez avoir toute chose. Il se peut qu’il y ait une jeune fille très jolie, et une autre peut-être est une… la stature de celle-là peut sembler meilleure que celle de cette autre. Il se peut que vous sacrifiez l’une pour l’autre. Mais si elle n’a pas la stature d’une dame, d’une femme, elle… peu m’importe qu’elle soit jolie ou non, vous feriez mieux de regarder à son caractère, qu’elle soit jolie ou non.

Maintenant… Car il est convenable que si un chrétien voudrait choisir une femme, il devrait choisir une femme véritablement née de nouveau. Sans prêter attention à ce qu’elle peut ressembler, c’est ce qu’elle est qui la définit. Et de plus, cela reflète son propre caractère divin, ce qui est dans sa pensée et qui va être sa famille dans le futur – les enfants qui seront élevés par une telle femme, - pour un futur foyer. …


- PARADOXE, jeudi soir, 01/08/1963, Chicago.

(Frère Branham racontant ici l’histoire d’un jeune homme et d’une jeune fille qui sortaient ensemble ‘qui étaient en fréquentation’ mais, ne pouvaient aller jusqu’au mariage à cause de leurs caractères diamétralement opposés… les parents du garçon trouvèrent Fr. Branham, et, ce dernier, étant prophète dit ce qui suit, du 16ème paragraphe au 31ème) :

 

§18 : Par exemple, il y a quelques jours passés, j’étais appelé sur une scène ou sur un petit quelque chose qui se passait. Il y avait un excellent jeune homme, un garçon très bien, il sortait avec une petite fille, une très excellente petite fille d’une excellente famille. et ce garçon tout d’un coup, s’est présenté avec un genre d’idée, et il s’est juste levé et est parti. Il a fait quelque chose de mauvais à la petite fille, et autant qu’il lui a promis de faire une certaine chose et alors il ne l’a pas faite. Et au lieu de venir chez la fille s’excuser, comme un gentleman le ferait, cela n’était simplement pas en lui de le faire.


§31 : J’ai dit : « Cela peut être très bien, tous ces gestes extérieurs. Il se peut qu’il soit identifié un croyant avec les croyants. Mais jusqu’à ce qu’il soit régénéré, né de nouveau, je conseillerais à ce jeune homme de ne jamais épouser une femme. Il fera l’enfer pour elle sur la terre, jusqu’à ce que ce Gentil et Doux Esprit de Christ Qui pardonne entre. Alors, ce sera un Paradoxe en soi, enlever la nature même d’un garçon reproduit entre le père et la mère. Et cependant, dans son mental il essaie de vaincre cela. Il ne peut pas le faire. Il ne le vaincra jamais. Christ aura à le vaincre. Quand il laisse Christ entrer, alors il a déjà vaincu. Ce sera un Paradoxe lorsqu’un homme est né de l’Esprit de Dieu.

CE N’EST PAS PAR LA BEAUTÉ EXTÉRIEURE, MAIS PAR UN POINT D’ATTACHE SÛR, UN ABSOLU, … ET FRÈRE BRANHAM D’AFFIRMER QU’IL N’Y A QU’UN SEUL MOYEN DE FAIRE UN BON CHOIX.


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, § 105b

Maintenant, voici le seul moyen de faire un bon choix : d’abord, regardez au caractère, et ensuite, si vous l’aimez, très bien.


- QUESTIONS ET RÉPONSES n°2, 23/08/1964, soir, § 63

Et la même chose s’applique aux femmes. Vous prenez une de ces femmes aux visages fardés, avec ses yeux hagards ressemblant à une sorte d’animal, et qu’à force de se défigurer, n’a plus l’apparence d’un être humain, et ne fera jamais rien de bon. Elle va courir tout le temps. Et le Christianisme n’est pas la beauté de l’extérieur mais celle de l’intérieur : une parure de paix, de quiétude, un esprit paisible et doux, ce qui est d’un grand prix devant le Seigneur. C’est ce que nous désirons trouver dans la femme, dans l’homme et chez n’importe qui.

 

- ET TU NE LE SAIS PAS, 15/08/1965, §84

Est-ce que vous pouvez examiner une femme dans la fleur de l’âge, belle, un beau physique, de belle forme, un beau profil, un beau visage, une beauté ; et le fait même qu’elle est jolie montre qu’on est au temps de la fin. Voyez, elle a tout misé sur les apparences du monde, les choses du monde, au lieu de la beauté de la sainteté, de la douceur de l’âme. J’ai vu des femmes qui n’avaient pas grand chose pour attirer les regards à l’extérieur, mais parlez-leur une fois, parlez avec elles pendant quelques minutes, elles sont vraiment authentiques, quelque chose d’attachant. Vous voyez, la beauté de l’extérieur, c’est du diable, c’est du monde.


- ABSOLU , 30/12/1962, P.10, § 58

Lorsque vous vous êtes mariés, vous avez dû faire un retour en arrière dans votre pensée. Jusqu’à ce que vous atteignez ce poteau d’attache. Et ce devrait être l’amour pour votre femme ou votre mari. Eh bien, peut-être qu’elle n’est pas aussi jolie que la femme de John ; eh bien, elle n’est … ceci ou cela… mais il y a quelque chose en elle qui vous frappe.

Vous dites : « Il se peut qu’elle ne soit pas aussi jolie que l’autre », ou « Il se peut qu’il ne soit pas aussi beau que l’autre », mais il doit y avoir un absolu là, qui fait que cette personne soit différente de l’autre. Et c’est à cela que vous vous accrochez. Et si cela n’est pas là, vous feriez mieux de ne pas vous marier ; s’il n’y a pas ce poteau d’attache, cet Absolu.

- LA STATURE DE L’HOMME PARFAIT, P. 8, § 6

C’est juste. Et, avant qu’un homme se marie, il devrait réfléchir à ces choses, étudier la question.

Un jeune homme m’a demandé l’autre jour : « Frère Branham, pensez-vous que je devrais épouser telle et telle jeune fille ? J’ai dit : « quelle importance a t-elle pour vous ? » Il a répondu : « Oh, là là ! Qu’est-ce que je l’aime ! » J’ai dit : « Eh bien, si vous ne pouvez pas vivre sans elle, alors vous feriez mieux de l’épouser. Mais si vous pouvez vivre sans elle, vous feriez mieux de ne pas le faire. Mais, si vous risquez d’en mourir, vous feriez mieux d’aller de l’avant et de vous marier. « Donc ce que j’essayais de lui faire comprendre, c’était ceci : c’est que, si vous l’aimez tellement … Eh bien, en ce moment, avant d’être mariés, tout est bien, tout est beau, mais une fois mariés, le labeur et les épreuves de la vie commencent. C’est à ce moment-là que vous devez être tellement amoureux que vous vous comprendrez l’un l’autre. Quand elle vous décevra ou que vous la décevrez, vous continuerez à vous comprendre.


FRÈRE BRANHAM NOUS DONNE UN BEL EXEMPLE DU VRAI AMOUR


- CHRIST RÉVÉLÉ DANS SA PROPRE PAROLE, 22/08/1965, §36 – 37b

 

J’ai passé cette semaine à la campagne chez de très chers amis. Et hier, tandis que nous étions à table en train de manger, j’ai demandé à certains d’entre eux… nous avons l’habitude de rester à table et d’avoir ensemble une petite… genre de petite étude de la Bible. Nous parlions au sujet de l’amour. Et une certaine personne m’a dit … il a dit : « Je crois que vous êtes un antichrist. »

J’ai dit : « Il y avait quatre ou cinq jeunes hommes qui étaient là, avec leurs épouses, de braves femmes ; je les ai regardés. Je savais combien ces garçons aimaient leurs épouses, aussi leur ai-je dit … J’ai dit : « Voici la façon de mesurer la chose. Si votre épouse, avant que vous soyez mariés… maintenant, retournez en arrière : disons que cette vie conjugale… vous aviez rêvé que vous étiez marié. Vous n’étiez pas vraiment marié ; vous avez seulement rêvé que vous l’étiez. Au réveil, vous êtes allé en parler à votre petite amie, disant : « Tu sais que j’ai rêvé que nous étions mariés, que nous avions des enfants, et que nous étions heureux et… et dans l’attente de la venue du Seigneur, et tout.

Et ensuite, cette fille vous dirait : « Tu sais, j’aime un autre homme plus que toi. Je serai plus heureuse avec cet autre homme. » Pourriez-vous, du fond du cœur, l’aimer assez pour dire : « Que les bénédictions de Dieu reposent sur toi, ma chérie. Va avec cet autre homme ? » Maintenant, vérifiez bien cela chacun de vous, les hommes et les femmes aussi. Voyez-vous ? Si votre amour est conforme à ce qu’il doit être, c’est ce que vous feriez, car vous vous intéressez à son bien-être. Vous savez qu’elle pourrait être à vous, que vous pourriez vivre avec elle, que vous… elle est votre épouse, ou plutôt « elle le serait, elle accepterait de se marier avec vous – mais elle ne serait pas heureuse. » Elle serait plus heureuse… et si vous l’aimez, alors vous désirez son bonheur. Par conséquent, quelle que soit la volonté de Dieu, que la Volonté de Dieu soit faite, que cela fasse mon bonheur ou pas…


Ceci est pour montrer le vrai amour afin de ne pas mal interpréter la citation de la Stature de l’Homme  Parfait (ci-dessus), car, dans cette même référence, le prophète s’était lui-même bien expliqué.

Et enfin, la réponse de savoir si lui ou elle a été fait(e) pour toi, tu la trouveras dans la rubrique : « Fréquentations »



II.  LES ÉTAPES DU MARIAGE



NOTONS, EN PREMIER LIEU, QUE FRERE BRANHAM EN ÉTABLISSANT UNE COMPARAISON DE NOTRE MARIAGE AVEC CHRIST, FAIT RESSORTIR DIRECTEMENT LE MARIAGE NATUREL QUI EST L’IMAGE DU MARIAGE SPIRITUEL. VOICI CE QU’IL DIT A CE SUJET DANS :



- MESSIEURS, NOUS VOUDRIONS VOIR JÉSUS, 4/03/1964, § 16

« Toutes ces choses sont des attributs de Dieu de sorte qu’à la fin, la Bible a dit, Jésus a dit : « Vous connaîtrez que je suis dans le Père, le Père en Moi. Moi en vous, et vous en Moi. » C’est Dieu qui devient tangible. Votre propre femme, vous et votre mari, c’est seulement une ombre, un négatif de Dieu et son Epouse à Lui, L’Eglise. Vous voyez, c’est seulement l’Attribut de Dieu qui est montré par des ombres et des types, comme l’Ancien Testament en était du Nouveau. Voyez ? Alors, à la fin, tout cela se rejoint, Dieu tangible. Dieu en Christ, tangible, fait Chair, qui a habité parmi nous. Et dans ce glorieux Millénium à venir, Dieu sous la forme de Christ est assis sur le trône de David ; et l’Eglise, Son Epouse, le Mari et la Femme ensemble.


1)     Les prÉ-fianCailles


C’EST UNE TRES PRÉCIEUSE ETAPE DE VIE QUI PRÉCEDE LES PROMESSES (VŒUX) DU MARIAGE. EN D’AUTRES TERMES, C’EST LA PERIODE DE FRÉQUENTATION. LE JEUNE HOMME ET LA JEUNE FILLE S’ENGAGENT COMME AMIS, S’ÉTUDIENT MUTUELLEMENT, SANS POUR AUTANT S’ENGAGER DÉFINITIVEMENT, C’EST-A-DIRE SANS FAIRE DE VŒUX. CAR LES VŒUX INTERVIENNENT NÉANMOINS A LA FIN DE CETTE PÉRIODE DES AMITIÉS.


Telles sont les affirmations du prophète W.M. Branham, nous prouvant que les pré-fiançailles (fréquentations ou amitiés) sont scripturaires :


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, § 40b

« … Et l’homme peut ruiner sa vie entière s’il fait un mauvais choix. Et s’il a fait un mauvais choix ou s’il s’est marié avec une femme qui n’est pas faite pour lui, bien que le sachant, il ne pourra que s’en prendre à lui-même, ce sera sa faute. Et si une femme prend un époux, un homme qu’elle sait être incapable d’être un bon mari, ce sera tant pis pour elle, ce sera sa propre faute, car avant de s’unir, elle savait le pour et le contre. Ainsi, avant de s’engager définitivement devant Dieu, qu’elle prie et qu’elle implore l’aide de Dieu.




- QUESTIONS ET RÉPONSES  n°4 , 30/08/1964 ? § 73


FRÈRE BRANHAM, À QUELLES ACTIVITES NOS JEUNES ENFANTS DEVRAIENT-ILS PARTICIPER ? AUSSI, COMMENT DEVRIONS-NOUS FAIRE POUR LES AIDER À CHOISIR LEURS AMIS ?


Réponse : Gardez-les, autant que possible en compagnie des chrétiens. Gardez-les avec… Si c’est une fille, gardez-la avec des jeunes filles chrétiennes ; si c’est un garçon, avec des jeunes garçons chrétiens.  SI ELLE EST ASSEZ AGÉE POUR FRÉQUENTER UN GARÇON, VEILLEZ À CE QU’ELLE FRÉQUENTE LE GENRE CORRECT DE GARÇON. AUTREMENT, DÉCOURAGEZ-LA DE FRÉQUENTER N’IMPORTE QUEL AUTRE GARÇON, OU LE GARÇON VIS-À-VIS D’UNE FILLE. SI ELLE FRÉQUENTE UN INCROYANT, ESSAYEZ DE L’ENCOURAGER A FRÉQUENTER UN CROYANT ET VICE-VERSA. RENDEZ VOTRE FOYER AGREABLE. FAITES DE VOTRE DEMEURE UN ENDROIT OU VOTRE FILLE OU BIEN VOTRE GARÇON N’AURONT PAS HONTE D’AMENER LEURS AMIS DEVANT LEUR PÈRE ET LEUR MÈRE, ET DANS LEUR MAISON ; ET RENDEZ VOTRE FOYER SI HEUREUX QU’ILS SE PLAIRONT À RESTER À LA MAISON.


- ÉVANGELISATION DU TEMPS DE LA FIN, 3/06/1962, § 138

… Je n’ai pas cette intention. Mais si vous laissez un… soyez sûr avec qui votre fille sort le soir. Voyez-vous ? Peut-être que vous l’avez élevée comme une simple petite fille allant à l’église, et la première chose que vous apprenez, c’est qu’elle sort avec Oswald ou quelques- uns de ceux-là et c’est soit un athée, soit un incrédule, et sa vie finira par être ruinée et vous ne savez pas ce qu’il est. Voyez-vous ? Ensuite, il se mariera avec elle et regardez, où sont alors vos enfants, vos petits enfants, voyez-vous ?


- LES OINTS DU TEMPS DE LA FIN, P. 8, § 35

George Smith, le garçon qui sort avec ma fille


Voyons aussi quelques expériences du prophète W.M. Branham, prouvant qu’il est passé lui-même par-là.


- ÉTAT PRÉSENT DE MON MINISTERE, 8/09/1962, §4

Cela fait à peu près 32 ans, que le Seigneur Jésus, à moins de cent cinquante mètres de l’endroit où je me tiens maintenant, ici, à Jeffersonville, dans la Eight and Penn Street, le matin où je posai la Pierre d’Angle de ce tabernacle, qui n’était à l’époque qu’un marécage… (et j’habite juste en face ici à ma gauche. C’était avant que je me marie. J’habitais chez mon père et ma mère.) que le Seigneur Jésus m’avait révélé le matin où la pierre d’angle devait être posée, assez tôt vers 6 heures. Et j’étais resté dans mon lit un moment… Je n’étais alors qu’un tout jeune garçon. Et ce jour-là, je … « LA JEUNE FILLE AVEC QUI JE SORTAIS, QUI ALLAIT BIENTÔT ÊTRE MA FEMME, L’ANNEE SUIVANTE, SERAIT AVEC NOUS LE JOUR OU NOUS POSERIONS LA PIERRE ANGULAIRE. »


- L’HISTOIRE DE MA VIE, 19/04/1959

P.19, § 3 Puis je me rappelle en allant plus loin, je suis devenu un jeune homme (je vais me dépêcher pour terminer dans le peu de temps qui me reste.) Quand je suis devenu un jeune homme, j’ai eu des idées comme tout jeune homme, allant à l’école, j’avais rencontré des jeunes filles. Vous savez, j’étais réellement timide. Et finalement, j’ai eu une petite amie comme tous les jeunes garçons aux environs de quinze ans, je pensai…

P.24, § 2 Plus tard, j’ai rencontré une fille, quand j’eus 22 ans, elle était mignonne, c’était une fille qui allait à l’église luthérienne allemande, son nom était Brumbach : B-r-u-m-b-a-c-h, cela vient du nom Brumbough. Et c’était une gentille fille. J’allais avec elle un certain temps et alors j’avais environ 22 ans.

P.24, § 3 Je n’ai jamais fait partie de cette église (assemblée) mais j’aimais aller avec elle ; parce que ma principale pensée était « d’être avec elle », je ferais aussi bien d’être honnête.

P.24, § 4 Ainsi bien avec elle, et un jour, j’ai… Elle était d’une bonne famille. et j’ai commencé à penser : « tu sais, tu sais, je ne devrais pas prendre le temps de cette fille. Ce n’est pas juste,  parce que c’est une gentille fille et je suis pauvre et je… »



- L’EAU TOUJOURS PRÉSENTE DU ROCHER, 23/07/1961, § 72


C’est comme une affaire d’amour. Si vous sortiez avec une jeune fille simplement parce que vous savez que c’est un devoir, ou si vous sortiez avec un garçon quand vous étiez jeune... «Maman veut que je sorte avec ce gars-là, mais je ne peux pas le supporter», vous ne recevez rien lorsqu’il vient vous voir. C’est la même chose par rapport à la fille vis-à-vis du garçon ou par rapport au garçon vis-à-vis de la fille. Vous allez avec elle, mais elle vous ennuie. Maman veut que vous alliez avec elle parce que c’est le genre de fille que maman aime. Voyez-vous, cela vous ennuie, il n’y a point d’amour. Mais vous ne vous souciez pas de cela. Vous ne voulez pas vous laver, vous ne voulez pas aller la voir, et c’est un... Oh, c’est quelque chose d’horrible. Et lorsqu’il vient vous voir, oh, la la! vous souhaitez qu’il se dépêche et qu’il retourne chez lui.

 

- LA VISION DE PATMOS, 04/12/1960, § 248-251

J’ai une petite histoire à vous raconter au sujet de ma femme (elle est assise là-bas au fond). Je lui ai fait passer des moments difficiles avant que nous ne soyons mariés, et j’ai essayé de compenser cela après notre mariage. Je ne savais pas si je devais me remarier ou non, et cela l’avait brisée. Je pensais qu’elle était une fille trop bonne pour moi, et qu’il valait mieux la laisser épouser un brave homme qui prendrait soin d’elle. Je pensais que je n’en étais même pas digne ; je ne suis pas digne de sa bonté de toute façon. Cela lui déchirait le cœur. Et elle ne savait que faire. Il y a une vingtaine d’années de cela. Elle était tellement brisée, qu’elle pleurait nuit et jour. Je voulais rompre, non pas parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne voulais pas lui prendre son temps ; je voulais la laisser trouver quelqu’un, quelque brave homme, parce qu’elle était une trop bonne fille pour continuer comme cela, et je ne voulais pas la tenir plus longtemps. Je pensais qu’elle m’aimait, et moi, je savais que je l’aimais. Je pensais donc : « Eh bien, je vais prendre rendez-vous avec une autre fille et sortir avec elle, afin qu’elle ait de mauvais sentiments à mon égard. » Par la suite, j’ai détesté ce que j’ai fait. Elle en fut toute brisée. Je l’appelai et lui ai dit : « Tu es une trop bonne fille, je ne veux pas prendre ton temps comme cela. »

Mais elle me répondit : « Mais c’est toi que j’aime, Bill ! Tu es le seul que je puisse aimer. Je t’ai toujours aimé. »

« Je t’en suis reconnaissant, mais tu sais, lui dis-je, je suis un ermite. Je vis vraiment comme un ermite. Tu vois, il n’est pas question que je me marie.

Elle y tenais tellement, vous savez, la pauvre petite ! Elle se rendit dans la grange. Elle s’y rendit et se mit sur ses genoux, et dit : « Seigneur, je ne sais pas quoi faire. Je ne veux pas Te désobéir, et pourtant, j’aime Bill et je ne sais pas quoi faire. Seigneur, voudrais-tu me donner un peu de consolation ? Veux-tu m’aider un tout petit peu ? Je ne t’ai encore jamais demandé cela dans ma vie, Seigneur, et j’espère que je n’aurai jamais à Te le redemander, mais si Tu veux m’aider, je vais ouvrir ma Bible et Tu vas me donner un verset. J’ai entendu certains dire que Tu faisais cela. » Et, quand elle L’ouvrit, c’était sur Malachie 4 : « Voici, Je vous enverrai Elie, le prophète, avant que le Jour de l’Eternel arrive, ce Jour grand et redoutable. »


- LE COMPTE A REBOURS, 9/09/1962, P.7, § 36

Prenons par exemple le mariage en tant qu’union, nous voyons cela, le mariage, nous voyons le… le temps qu’il y a pour faire la cour, puis le temps des fiançailles, puis le mariage, alors, cela est établi pour toujours…


- LES NOCES DE L’AGNEAU, 21/01/1962, § 53 et 63

Maintenant, le mariage dans un sens est un type… le mariage terrestre ici est un type du Mariage Céleste. Maintenant, allons-y pendant quelques instants pour le répéter dans un moment. La première chose qu’il y a, il doit y avoir une décision à prendre.

La première chose qu’il faut dans le mariage naturel, est une décision qui doit être prise. La jeune femme doit prendre sa décision si elle veut de ce jeune homme ; et le jeune homme, s’il veut de cette jeune femme. Il doit y avoir une décision à prendre, et vous devez la prendre. Elle doit être la seule femme au monde que vous aimez, et il doit être le seul homme. Si ce n’est pas le cas, alors vous avez pris une mauvaise décision.

Maintenant vous voyez, d’abord, la décision doit être prise, puis c’est l’engagement, puis la promesse, et ensuite la cérémonie. Et c’est lorsque l’épouse prend le nom de l’époux. Elle n’a plus alors, elle n’a plus son propre nom ; elle prend le nom de l’époux.


NOUS CROYONS QU’AVEC CES QUELQUES CITATIONS PARMI TANT D’AUTRES, NOUS AVONS COMPRIS ENSEMBLE QUE LE MARIAGE COMMENCE PAR UN TEMPS DE FRÉQUENTATIONS (Les amitiés ou pré-fiançailles), OU LE JEUNE GARCON ET LA JEUNE FILLE SE COTOYENT MUTUELLEMENT, CHERCHANT LA VOLONTÉ PARFAITE DU SEIGNEUR, SACHANT QUE CHACUNE DES PARTIES EST LIBRE DE SE RETIRER SI CELA N’EST PAS DANS L’ABSOLUE VOLONTÉ DE DIEU.


LES PRE-FIANCAILLES ETANT DONC UNE PÉRIODE DE PRIERES ET D’ÉTUDES, D’OBSERVATION… ET … VOUS NE POUVEZ PAS EPOUSER QUELQU’UN QUE VOUS NE CONNAISSEZ PAS ET EN QUI VOUS N’AVEZ PAS CONFIANCE.



- QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LE SAINT-ESPRIT, 19/12/1959, § 36

Pourquoi avez-vous épousé votre femme ? Vous avez foi en elle. Vous l’avez mise à l’épreuve, vous l’avez observé, vous saviez d’où elle venait, qui elle était. C’était ainsi avec l’Ecriture de Dieu.



- LE LIEU D’ADORATION POURVU PAR DIEU, 25/04/1965, § 201

… Un homme doit avoir confiance en la femme qu’il veut épouser, car, certainement, il n’aura pas mal de difficultés. Vous devez avoir la foi en cela.


VOUS NE POUVEZ AIMER QUELQUE CHOSE QUI NE SOIT PAS DE VOTRE NATURE ET QUI SOIT RÉELLEMENT UN COPAIN OU UNE COPINE , EN EFFET UNE PARTIE DE VOUS-MEME.


- L’AGNEAU ET LA COLOMBE, 5/08/1965, § 64-65

Alors Dieu, Qui désirait dut créer quelque chose d’aimable. Il dut créer quelque chose de gentil comme Lui-même. Il dut créer quelque chose qui soit selon Sa propre nature. Vous ne pourriez pas aimer quelque chose qui ne soit pas de votre nature. L’Amour doit s’unir à l’amour.

… Vous cherchez partout, essayant de trouver une fille que vous puissez aimer et qui deviendra votre femme ; elle cherche partout, essayant de trouver un mari qui puisse l’aimer.



- L’INVASION DES ETATS-UNIS, 9/05/1954, § 46b

Et lorsqu’un homme désire se marier, le genre de fille ou de femme… c’est plus que de ne regarder qu’à la beauté. VOUS DEVRIEZ TROUVER QUELQU’UN AVEC QUI VOUS UNIR, ET L’AME ET LE CORPS ; QUELQU’UN QUI SERA VRAIMENT VOTRE AMIE ET VOTRE COPINE, QUI S’UNIRA ENTIEREMENT ET INTIMEMENT AVEC VOUS.



- LA SEMENCE DU SERPENT, 28/09/1958, P. 17, § 113- 116a

Et la femme est simplement une partie de l’homme, un produit dérivé. La femme n’était pas dans la création originale. Ça faisait déjà des années et des années que Dieu avait arrêté de créer, quand IL a formé la femme à partir d’une côte prise de son côté. Adam avait déjà donné des noms à toute la création, à tout le reste, mais pour lui-même il n’y avait rien. Alors, IL lui fait une aide. Il a pris une côte de son côté et a refermé la blessure et IL lui a fait une aide. Et l’homme dans son esprit, il était à la fois homme et femme.

 

ET LA FEMME EST SIMPLEMENT UNE PARTIE DE L’HOMME. ET QUAND UN HOMME PREND UNE ÉPOUSE, ET SI VRAIMENT ELLE EST SON ÉPOUSE, UNE ÉPOUSE DONNÉE PAR DIEU, ALORS ELLE SERA POUR LUI TOUT COMME UNE PARTIE DE LUI.


Voilà la raison pour laquelle il y a tant de problèmes dans les mariages.

Vous devriez d’abord prier parce que la femme fait une partie de vous.


- LE PARENT RÉDEMPTEUR, 20/10/1960, § 47

Et lorsqu’un homme aime une femme parce qu’elle est seulement jolie, il y aura une fin à cela. Mais lorsqu’un homme trouve une femme qu’il aime, il ne sait pas pourquoi, et il l’aime. Et elle trouve l’homme qu’elle aime, peu importe à quoi il ressemble, il l’aime, elle l’aime. C’est un Couple dans la gloire. Ce… ni rien d’autre ne peut les séparer. Parce qu’ils viennent de l’Eternité, et ils ont marché dans l’espace des temps et ils retourneront dans l’Eternité. L’Eternité est entrée dans un corps appelé « Temps ». Ensuite, Elle rentre juste dans l’Eternité à nouveau. Elle ne peut périr.

Une femme qui est belle, cette beauté disparaîtra aussi sûrement… donne-lui quelques-années…


- JEHOVAH JIREH #1, 2/04/1964, § 113

Et quand Adam et Eve, au départ tout était en Adam. Dieu prit une côte de son côté et forma une femme, et IL retira l’esprit féminin d’Adam et le mit dans la femme.


- JEHOVAH JIREH #3, 4/04/1964, § 162

C’est comme au commencement, en Eden, où « Adam ». Voyez-vous ? Et lorsqu’ils furent séparés pour être éprouvés, qu’arriva-t-il ? Eve fut déchue de la Parole ; c’était la Parole. Adam la suivit pour la racheter, mais il ne pouvait pas. Il n’était pas digne de la racheter. (Cf. aussi Corinthiens, Livre de corrections)


PENDANT LA PÉRIODE DES PRÉ-FIANCAILLES (fréquentations ou amitié), LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT VEILLER A TOUT CE QUI EST DIT PRÉCÉDEMMENT. ET C’EST BIEN APRES QUE VIENNENT LES FIANCAILLES. MAIS AVANT D’ENTRER DANS LES FIANCAILLES, IL Y A EN PREMIER LIEU, LES PROMESSES ( les vœux ) ; OR, AVANT D’ARRIVER A CETTE ETAPE, LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT ÊTRE SÛR(E) DE CE QU’IL (ELLE) ENTREPREND.

LE PROPHETE W.M. BRANHAM DECLARE CECI DANS LE MESSAGE INTITULÉ :


- LA FOI PARFAITE, 25/08/1965, § 127-128

Tenez , c’est comme pour un jeune couple. Vous prenez un jeune homme et une jeune fille qui tombe amoureux l’un pour l’autre. Alors qu’ils vont de l’avant et commencent à mieux se connaître, leur cœur commence à battre à l’unisson. Voyez-vous ? Pourtant, ils ne sont pas encore mari et femme. Leur amour les lie et ils ont confiance l’un à l’autre. Maintenant, ils s’aiment vraiment, s’ils s’aimaient vraiment…. Et si vous savez que cette fille vous aime et si elle sait que vous l’aimez, vous avez confiance, vous avez foi l’un en l’autre. Si vous ne l’avez pas, vous feriez mieux de ne pas vous marier.


Vous devez donc avoir foi, et si vous les séparez, et que vous en mettiez l’un à l’extrême sud et l’autre à l’extrême nord, ils auraient cet amour l’un pour l’autre. Ils sont aussi fidèles l’un à l’autre que possible parce qu’ils s’aimaient…


EN VOICI UN EXEMPLE :


- LES NOCES DE L’AGNEAU, 21/01/1962, § 93-96

Et il y avait une certaine école ; et c’est cette école que ce… ce groupe de jeunes américains fréquentait. Et presque tous agissaient de la même façon, sauf une certaine petite fille qui ne tolérait pas du tout cela. Elle ne sortait pas. La nuit, quant tout le monde sortait pour boire, elle lisait. Un jour, elle travaillait sérieusement. Eh bien, elle était la risée de toute l’école. Elle regardait comme une dame, elle se comportait comme une dame. Bien qu’il y ait eu là de jeunes garçons romains et d’autres qui essayaient de la convaincre de sortir, elle refusait. Non, monsieur. Elle restait accrochée fermement à ses leçons, apprenant à dessiner et à peindre. Elle s’en tenait à cela.


Finalement, un vieux concierge de la place, qui ne cessait de l’observer, a remarqué qu’elle était très différente, bien qu’il fut un catholique romain, il ne cessait de l’observer, comment elle se comportait. Un soir, la jeune fille était dans le parc où se trouvait l’atelier, ou plutôt à l’endroit où se trouvait l’école. Elle était sortie du campus, et elle gravit la colline et se dirigeait vers son sommet, et le soleil se couchait. Et elle se tenait là avec son visage joli et propre, et ses cheveux qui lui descendaient sur le dos, elle regardait de l’autre côté, vers le soleil couchant.


Le vieux concierge était en train de ratisser là-bas dans la cour et ne cessait d’observer la fille. Pendant qu’il ratissait, quelque chose ne cessait de lui dire d’aller lui parler. Il déposa son râteau et, ayant enlevé son chapeau à larges bords, il se dirigea là où se trouvait la jeune fille ; et il s’éclaircit la voix. Elle se retourna. Il dit : « excusez-moi, mademoiselle. »

Elle dit : « Oui, Monsieur, je vous en prie ? »

Et il remarqua qu’elle pleurait. Ce soir-là tous les autres étaient sortis pour une grande fête. Il dit : « Mademoiselle, j’espère que vous n’allez pas me prêter de mauvaises intentions, parce que je vais vous parler. » Il dit : « Maintenant, ça fait presque deux ans depuis que vous êtes ici. Et j’ai remarqué que le groupe avec lequel vous êtes venu sort tout le temps pour aller aux fêtes, et ils reviennent à n’importe quelle heure de la nuit, ivres, et à moitié nus, et tout. Mais j’ai remarqué que vous ne prenez pas part à ces fêtes.

Et il dit : « Je – je remarque, sans doute, que vous êtes toujours en train de regarder au-delà de la mer. Le soir, vous montez ici, et vous vous tenez debout ici chaque soir, et vous regardez le soleil se couchant. » Et il dit : « A quoi cela est-il dû ? » Il dit : « Je suis un vieil homme. Et je – je suis curieux de savoir ce qui vous différencie des autres. »


Elle dit : « Oui, monsieur. Elle dit : « Monsieur, je regarde en direction de notre pays, quand le soleil se couche. » Elle dit : « De l’autre côté, là au-delà de ce soleil, se trouve un pays. » Elle dit : « Dans ce pays-là, il y a un certain Etat. Et dans cet Etat, il y a une certaine ville. Et dans cette ville, il y a une certaine maison. Et dans cette maison là, il y a un certain garçon. » Et elle dit : « Il est aussi artiste. Quand je suis partie de là pour venir ici, je lui ai promis mon amour. Nous nous sommes fiancés. » Et elle dit : « Qu’importe ce que font les autres, cela ne me dit rien. » Elle dit : « J’ai promis de rester fidèle et juste. » Et elle dit : « Je désire ardemment voir ce jour où je me sentirai sur les ailes de ce grand avion-là qui m’amènera de l’autre côté de la mer et me déposera à l’aéroport, où il m’attendra. Il est en train de construire une maison, et nous vivrons ensemble là, dans ce pays-là. » Et elle dit : « C’est la raison pour laquelle je me comporte de la sorte. Je suis fidèle à la promesse que je lui ai faite. » Et elle dit : « Je reçois de ses nouvelles de temps en temps et je lui écris. » Et elle dit : « Dans notre correspondance, nous gardons nos vœux, en attendant le jour où nous nous rencontrerons. » (…)


N.B. : Bien que dans cet exemple, les deux avaient déjà conclu les vœux, mais nous voulons seulement faire remarquer l’amour qui liait les deux.


AINSI , SI LES DEUX PARTIES EN ARRIVAIENT A CE NIVEAU, ELLES POURRAIENT ALORS SCELLER LEURS FIANCIAILLES, SINON, ROMPRE LEURS AMITIÉS (FRÉQUENTATIONS).


LE COMPORTEMENT A AFFICHER PENDANT LA PÉRIODE DE PRÉ-FIANCAILLES


- QUESTIONS ET RÉPONSES N °3, 30/08/1964 (matin), § 304-305

Avez-vous trouvé cela, Frère Neville ? De quoi s’agit-il ? Je ferais mieux de m’en aller maintenant, parce que cela fait trop tard, voyez-vous ? 7, 9 … Voyons un peu. « Mais s’ils manquent de continence, qu’ils se marient, car il vaut mieux  se marier que de brûler. »

Très bien, cela est pour une vie de souillure, lorsqu’un homme ou un garçon ou une fille ou quelqu’un d’autre, sortent ensemble et qu’ils savent qu’ils devraient se marier, qu’ils aillent de l’avant et qu’ils se marient. Je pense que vous – vous comprendrez ce que je vais dire. N’est-ce pas ? Voyez-vous ? Ne continuez pas à vivre une vie impure, à ce moment-là, car ce n’est pas juste. Voyez-vous. C’est votre sœur dans un sens, si vous êtes un chrétien.

Maintenant, si c’est le monde, ils s’entredévorent. Mais cette jeune fille avec laquelle vous sortez, c’est votre sœur aussi. Ce sera la mère de vos enfants qui viendront. Ne vivez pas une espèce de vie impure, montrez-lui que vous êtes un gentleman chrétien. Vivez comme un gentleman chrétien doit le faire. Voyez-vous ? Et traitez-la comme votre sœur. Et lorsque vous serez marié, traitez-la toujours de cette façon-là.


LE LIEU D ’ADORATION POURVU PAR DIEU, 25/04/1965, § 201

« Ne saviez-vous pas qu’un homme qui embrasse une femme est moralement obligé de la marier ? Potentiellement, c’est un acte sexuel. Certainement que cela l’est. Oui, monsieur. Qu’est-ce ? Ce sont les glandes mâles qui sont dans les lèvres de l’homme et les glandes femelles. Quand les glandes mâles et femelles se rencontrent, c’est sexuel.


- LA SEMENCE DU SERPENT , 28/09/1958, § 116b

« …Et si vous avez serré une femme contre votre poitrine et que vous l’avez prise pour épouse, et que vous… Elle laisse une empreinte sur vous. Nous allons le dire comme cela afin que vous compreniez



26/02/2010
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