LE GRAND PRÊTRE DE NOTRE CONFESSION

LE GRAND PRÊTRE DE NOTRE CONFESSION

… Vous êtes un chrétien parce que vous croyez que vous êtes un chrétien. Et la question est réglée parce qu’il est un Grand Prêtre… Ce que vous confessez, c’est ce que vous êtes. Aucun homme ne peut vivre plus loin ou plus haut que ce qu’il croit vivre. Prenez un homme qui parle tout le temps du fait de boire : il parle de la boisson, il pense à la boisson ; il tombe directement dans cette catégorie, il devient un ivrogne
(Le Ministère expliqué, 11 juillet 1950)

Quand j’avais des problèmes d’estomac, si graves que les médecins m’avaient envoyé chez Mayo… Je L’ai accepté sur cette Ecriture : « Il est le Grand Prêtre de ma confession. » J’ai dit : « Je refuse de témoigner autre chose que ce que Dieu dit. Je crois Sa Parole. »
Jésus est mort pour nous guérir.  Chacun de vous est guéri. Chacun de vous est guéri maintenant même. Jésus vous a déjà guéri, vous devez simplement le confesser et le croire. C’est vrai. Par Ses meurtrissures vous avez été (au temps passé) guéri. C’est alors qu’Il l’a fait, au Calvaire. C’est comme une table dressée, c’est là. La seule chose que vous ayez à faire est de croire. Vous devez l’accepter, le croire dans votre cœur et le confesser. Et Il est le Grand Prêtre de votre confession.
(Expectatives, 10 août 1950)

Si vous croyez dans la guérison et si vous croyez que Dieu vous a guéri, confessez-le et Dieu fera que votre corps obéisse à votre confession, car Il est le Grand Prêtre de votre confession ; assis maintenant à la droite du Père avec Son propre Sang pour faire intercession sur n’importe quelle confession pour n’importe qu’elle chose pour laquelle Il est mort. Et Il est mort pour ôter le péché ; et la maladie est le résultat du péché. « Il a été blessé pour nos transgressions, par Ses meurtrissures nous avons été guéris. » Souvenez-vous-en. Ayez foi ! Ne chancelez pas. Demeurez ferme.
(Attitude et Qui est Dieu, 15 août 1950)

Il ne peut rien faire pour nous à moins que nous confessions d’abord qu’il l’a fait et que nous agissions sur cette base. « Quelle que soit la chose que vous désiriez (C’est Jésus qui parle), quand vous priez, croyez que vous la recevez. » Ce sont les ordres…
Je ne pourrais pas aller au Ciel avec ma justice. (…) Dieu ne la recevra pas, mais il recevra la justice de Son Fils. Et si nous croyons en Lui, comme l’Ecriture le dit, nous croyons qu’Il est et nous Le confessons, Il fera œuvrer la justice en nous.
(la Foi sans les œuvres est morte, 22 août 1950)

Que celui qui est faible dise : « Je suis fort. » Dites simplement dans votre cœur : « Maintenant, je suis fort. J’ai accepté Jésus comme mon Guérisseur », et n’ayez jamais plus de témoignage négatif, croyez le simplement et Dieu est dans l’obligation, ou Jésus-Christ est assis à la droite du Père pour vous accepter ; car Il est assis là, le Grand Prêtre de votre confession pour accomplir devant le Père tout ce pour quoi Il est mort, et que vous confessez qu’Il a fait. Vous y voilà. La guérison Divine ne peut pas être plus claire. C’est pour le plus faible… Souvenez-vous, la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, à n’importe quel endroit, n’importe quand et dans n’importe quelles conditions.
(Comme J’ai été avec Moïse, 3 mai 1951)

Chaque pécheur est sauvé ce soir aux yeux de Jéhovah Dieu. Mais cela ne vous fera aucun bien avant que vous ne l’acceptiez, et que vous le croyiez, et que vous le confessiez. Et alors Il est le Grand Prêtre de votre confession pour la faire valoir correctement devant Dieu. Et chaque bénédiction de rédemption… Si vous êtes las… « Il a été blessé pour nos transgressions, brisé pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix est sur Lui ; par Ses meurtrissures nous sommes guéris. » C’est déjà fait. Acceptez-le simplement.
(Ma commission, 5 mai 1951)

Souvenez-vous, ce n’est pas combien vous pleurez, ce n’est pas combien vous vous repentez, ce n’est pas la force avec laquelle vous pouvez crier à Dieu ; ce n’est pas le degré de votre sincérité, c’est le degré de votre foi que vous pouvez avoir quand vous venez à Lui. Il ne vous sauve pas sur les mérites de votre foi. C’est par la foi que vous êtes sauvé…
Maintenant vous venez à l’autel en réalisant que vous êtes un pécheur et vous regrettez vos péchés.  Vous vous repentez de ce que vous avez fait. Et  vous pourriez rester là  et pleurer pendant une semaine… Et cela ne vous sauverait pas avant que vous ne croyiez dans votre cœur que vous êtes sauvé.  Est-ce vrai ? Ensuite vous le confessez. Il ne peut rien faire pour vous avant que vous ne le confessiez. …/… car il est le Grand Prêtre de votre confession.
… et si vous disiez : « Eh bien, je vais voir comment cela agit. » Cela n’agira jamais à moins que vous ne continuiez à témoigner. Vous croyez que vous êtes sauvé, et vous vous associez avec ceux qui sont sauvés ; et cela produit le salut. Est-ce exact ? Et la même chose se produit avec la guérison Divine. Vous croyez que vous êtes guéri, vous agissez comme s’Il vous avait guéri, vous dites que vous êtes guéri ; et Il est le Grand Prêtre de votre confession pour rendre effectif tout ce que vous confessez qu’Il a fait, devant le Père.
(La manifestation de l’Esprit, 17 juillet 1950)

l’Evangile, comme on le croit communément, est la Parole de Dieu ; et c’est vrai dans un sens. Mais la Parole de Dieu n’est pas l’Evangile seulement. La Parole de Dieu est la Semence qui produit l’Evangile. Jésus a dit qu’un semeur est allé semer des semences. Certaines sont tombées dans des endroits rocailleux et certaines sont tombées sur le bord du chemin, et les oiseaux les ont dévorées. Certaines sont tombées au milieu des chardons et des épines, certaines sont tombées et ont produit au centuple. Maintenant, les semences, vous qui êtes fermiers, chaque semence produira si elle tombe dans la bonne sorte de terre. Et chaque promesse Divine de Dieu, dans la Bible, produira si elle rencontre la bonne sorte de cœur. Elle produira la promesse. Si vous avez besoin de Salut, croyez qu’Il vous sauve et acceptez le sacrifice de Sa mort et vous recevrez ce que vous avez demandé. Si vous êtes las et sombre, et que vous ressentez que tout le monde est contre vous : « Venez à Moi, vous tous qui peinez et qui êtes changés, et je vous donnerai du repos. » C’est une semence. Acceptez-le ! C’est une semence ; elle produira. Quand vous semez une semence, vous n’allez pas la déterrer chaque matin pour voir ce qui se passe. Si vous le faites, votre semence ne poussera jamais. Vous devez la planter, la confier à la terre, et la laisser tranquille. C’est à la nature, à Dieu, de l’arroser et à veiller à ce qu’elle pousse. Est-ce vrai ? C’est ainsi que vous faites avec la Parole de Dieu. Acceptez-la dans un bon cœur, déjà fertilisé et en ayant enlevé toutes les mauvaises herbes, les endroits rocailleux et les pierres du doute et avec un bon sol riche de foi, croyez-la, confiez-la à Dieu et allez-vous en, en témoignant que vous avez reçu ce que Dieu vous a promis. Et  ce que vous confessez qu’Il a fait. C’est l’Evangile. Maintenant, l’Evangile n’est pas seulement la Parole. …/…
Il ne peut pas vous sauver par les mérites de votre prière. Il ne peut pas vous sauver par les mérites de votre enthousiasme ou de vos bonnes œuvres. Il vous sauve par les mérites de votre foi et de votre confession. Car « si vous Me confessez devant les hommes, celui-là, Je le confesserai devant Mon Père et devant les saints anges. »
(La seule vraie Eglise vivante, 27 juillet 1951)

Je me souviens quand je ne pouvais rien garder dans mon estomac. Je pesais moins de cinquante kilos. Chaque fois que j’avalais quelque chose, cela entrait et la ressortait. [Frère Branham illustre la scène – Ed.] Je suis descendu et j’ai attrapé ma femme, je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassé.

  • J’ai dit : « Chérie, le Seigneur m’a guéri ! »
  • Elle a dit : « Quoi ? »
  • J’ai dit : « Le Seigneur m’a guéri. »
  • Elle a dit : « Es-tu sûr ? »
  • J’ai dit : « Je le sais ! »
  • Elle a dit : « Comment le sais-tu ? »
  • J’ai dit : « La Parole l’a dit. »

    Voyez-vous ? Il a dit qu’ « Il  est le Grand Prêtre de ma confession. » Je L’ai confessé comme mon Guérisseur.

  • Elle a dit : Peux-tu manger ? »
  • J’ai dit : « Certainement ! »

    Et chaque fois que je buvais de l’eau, cela ressortait directement  par mon nez. Elle est assise là derrière et sait que c’est la vérité. Elle a dit : « Que désires-tu ? » J’ai dit : « Va au magasin, me chercher une boîte de cassoulet. Ouvre-la et prends une miche de pain et coupe-moi des oignons blancs du Texas ; j’en ai envie. »
    (Le second miracle, 29 juillet 1951)

    Tout ce que le ciel possède est à vous. Vous avez un carnet de chèques. La seule chose à faire, c’est dire : « Je le crois. Je vais y mettre mon nom, c’est à moi. » Allez de l’avant en le croyant, en le témoignant et vous irez bien.
    (A ta Parole, Seigneur, 28 septembre 1951)

    La guérison Divine se trouve au Calvaire. Et la seule chose que vous puissiez faire est de vous diriger vers le Calvaire. C’est là où se trouve votre salut. Vous n’avez pas été sauvé il y a juste cinq ans, dix ans ou vingt ans. Vous n’avez pas été sauvé à ce moment-là. Voyez-vous ? Vous avez été sauvé il y a dix-neuf cents ans, quand Jésus est mort au Calvaire. Il a ôté les péchés du monde. Vous avez simplement accepté votre salut, il y a tant et tant d’années. Mais tout ce que Dieu peut faire pour la maladie et le péché, a déjà été accompli au Calvaire. Et la seule chose qu’un prédicateur puisse faire est de vous diriger là où … ce que Dieu a déjà fait pour vous en Christ.
    (Jésus-Christ, le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 6 mai 1953)

    Si vous êtes las, contrarié, bouleversé, nerveux, malade, pécheur, quelle que soit la chose, quand vous l’acceptez de votre cœur, allez et confessez-le, et alors dites : « C’est vrai ». Dieu est là pour l’accomplir, quand vous commencez à le confesser. Mais si vous avez peur de le dire, et si vous avez peur d’agir sur votre confession, peu importe combien de fois on prie pour vous, vous n’irez jamais bien. Vous devez le croire premièrement. Vous voyez ? Il est le Grand Prêtre de ce que vous confessez qu’Il a fait pour vous.
    (Nous l’avons trouvé, viens et vois, 11 mai 1953)

    Et ce soir, si chacun de vous veut accepter maintenant même Jésus comme son Guérisseur et dire : « Seigneur, la question est réglée ici même. Peu importe si j’ai deux fois plus mal, si je suis trois fois plus malade, cinq fois plus paralysé ; je vais… si je ne peux rien faire d’autre que bouger le petit doigt, je vais bouger le petit doigt et Te donner la louange, proclamer que Tu m’as guéri. »
    (Préparation, 11 novembre 1953)

    Vous devez le confesser. Non pas : que vous devez le sentir… vous devez le confesser. Il n’est pas le Grand Prêtre de ce que vous sentez, Il est le Grand Prêtre de votre confession. C’est vrai ! Ce que vous confessez !
    Maintenant, si on prie pour vous ou si vous êtes assis dans ce bâtiment cet après-midi et que le Saint-Esprit se déplace ici dedans ; vous sentirez Sa Présence bénie, et vous entendriez Sa Parole sortir, disant qu’Il a guéri et ainsi de suite, et voir la Puissance de Dieu. Elle sort, et vous savez que c’est pour tout le monde. Si vous sortez en disant : « Eh bien, je me sens aussi mal que lorsque je suis entré. » Il ne pourrait rien faire pour vous.
    Et si vous dites : « Eh bien, je l’ai gardé maintenant. » Et ensuite, le matin, vous vous levez et vous dites : « Eh bien, j’ai encore ce mal de tête, je me sens toujours mal. » Alors vous l’avez laissée tomber exactement là. Vous ne vivrez jamais au-dessus de votre confession. Si la personne la plus sainte de ce bâtiment se met dans la tête maintenant même qu’elle n’est plus une chrétienne, c’est alors que vous commencez à ne plus être chrétien.
    Quand vous sortez : « Etes-vous chrétien ? »
    « Non, je l’étais ; mais, je ne le suis plus. » Vous êtes déchu de la grâce à ce moment précis. Voyez-vous ? C’est la Foi. C’est soi la foi ou l’incrédulité. Vous êtes possédé par ces deux puissances : la foi ou l’incrédulité. Si vous avez la foi, vous êtes sauvé parce que vous êtes un croyant. Si vous n’avez pas la foi… vous êtes un pécheur.
    (A ta Parole, Seigneur, 21 février 1954)

    Dieu ne peut vous sauver que lorsque vous le témoignez. Il ne peut vous guérir que lorsque vous le témoignez. Il est assis à la droite du Père ce soir, pour intercéder sur votre profession. Ce n’est pas la force avec laquelle vous pouvez crier, avec laquelle vous pouvez frapper sur l’autel, les bonnes œuvres que vous pouvez faire. C’est votre foi qui sauve.
    Et si vous le confessez de vos lèvres et que cela vienne de votre cœur, Il commence à agir, étant un Grand Prêtre assis à la droite du Père pour intercéder sur votre confession. (Hébreux 3 : 1)
    Il ne peut pas faire une seule chose pour vous avant que vous le croyiez d’abord, que vous l’acceptiez et que vous le confessiez.
    Et les gens, aujourd’hui, sortent en disant : « Eh bien, je me sentais mieux hier soir. Mais aujourd’hui, je suis si mal que je peux à peine le supporter. » C’est exactement à ce moment-là que vous avez perdu votre confession, que l’avez laissé tomber. Peu importe qui vous êtes, votre sainteté, votre piété, que vous soyez un prédicateur, un homme d’église ou un diacre, ou quoi que vous soyez, ou que vous soyez chrétien depuis cinquante ans. Si vous sortez d’ici demain et que vous perdiez la foi que vous êtes un chrétien et que vous commenciez à dire aux gens que vous n’êtes plus un chrétien, vous avez rétrogradé, vous êtes en train de mourir.
    (A ta Parole, Seigneur, 7 juillet 1954)

    C’est une chose étrange que tant de personnes pensent ainsi, ils disent : « Eh bien, je suis faible ; je ne suis pas un très bon chrétien. » C’est exactement ce que le diable veut que vous disiez. Vous parlez son langage à ce moment-là. Voyez-vous ? Vous ne devez jamais dire cela.  Que votre témoignage ne soit jamais négatif, qu’il soit positif tout le temps. « Je suis sauvé. J’ai Dieu dans mon cœur. Je Le crois de tout mon cœur. » Crois-tu dans la guérison Divine ? « De tout mon cœur. »
    Ne permettez jamais à une pensée négative de venir dans votre esprit, si vous le pouvez. Quand cela commence, ne l’entretenez pas.
    C’est comme le fermier qui disait qu’il ne pouvait pas empêcher les oiseaux de voler au dessus de sa  propriété, mais il pouvait certainement les empêcher d’y faire leur nid.
    (La loi, 15 janvier 1955)

    Nos cœurs brûlent à l’intérieur de nous quand nous pensons que nous avons Quelqu’un qui nous représente aujourd’hui, dans la Présence du grand Dieu Tout-Puissant. Il n’est pas mort, mais Il est vivant et Il est assis dans Sa Présence. Et Il est présent partout, Il connaît toutes choses, Il est omnipotent en puissance, Il peut faire toutes choses, Il connaît toutes choses et est toujours présent. Comme nous Te remercions pour cette merveilleuse et glorieuse vérité que nous tenons dans notre sein aujourd’hui, que nous chérissons tellement. Et là, Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités, car Il a souffert pour nous, en portant notre maladie au Calvaire. Nous sommes tellement heureux de savoir cela aujourd’hui et de connaître l’assurance directe que nous avons maintenant : Il est vivant, Il parle pour nous, Il nous aime.
    (La preuve de Sa résurrection, 10 avril 1955)

    Donc, ce sont des individus. Maintenant vous direz peut-être : « Eh bien, pourquoi des prédicateurs ? » C’est pour cela qu’il y a des prédicateurs. Dieu a envoyé des prédicateurs pour prêcher la Parole. Quand vous L’entendez, sondez-la, voyez si c’est la Vérité, acceptez-la. Maintenant, le prédicateur ne vous sauve pas ; son Message ne vous sauve pas. C’est votre foi personnelle dans un Seigneur Jésus ressuscité qui vous sauve. Peu importe combien vous pourriez pleurer, la force avec laquelle vous pourriez hurler, combien vous croyiez de tout votre cœur, que vous vous leviez et que vous le confessiez. Car Il est le Grand Prêtre de notre confession, Hébreux 3, ou nous confessons être la Vérité.
    Tout ce qui a été inclus dans l’expiation est la propriété personnelle de chaque croyant. Quand un homme est sauvé, ou une femme, un garçon ou une fille, Dieu leur donne un carnet de chèques, comme nous dirions, avec le Nom de Jésus au bas de chaque chèque pour chaque bénédiction de rédemption pour laquelle Jésus est mort. C’est votre propriété personnelle. N’ayez pas peur de le remplir. La banque du Ciel le reconnaîtra.
    Jésus a dit : « Quelle que soit la chose que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous le recevrez. Quelle que sot la chose que vous demandiez au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Les richesses insondables de Jésus-Christ dans cette promesse !
    (Jésus-Christ le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 3 juin 1955)

    Quand vous devenez un chrétien, vous venez et vous confessez que Jésus est votre Sauveur. Le croyez-vous ? Quand vous sortez, vos amis critiques disent : « Je ne vois aucune différence en toi. » Mais vous croyez qu’il y en a une. Alors vous agissez comme s’il y en avait une. Ensuite, après un moment, tout le monde sait qu’il y en a une.
    Voyez-vous, Jésus est le Grand Prêtre de notre confession. Il ne peut rien faire pour vous avant que vous l’acceptiez premièrement et que vous confessiez que c’est déjà fait. Et Il fera que votre corps, votre nature, s’assujettisse à Sa Parole. Comprenez-vous maintenant ? Vous devez agir exactement comme si c’était déjà fait.
    Je me souviens quand j’étais si malade que les meilleurs docteurs que je connaissais disaient que ne pouvais pas vivre. J’avais des ulcères à l’estomac qui avaient éclaté ; et ils disaient qu’une seule bouchée de nourriture solide me ferait attraper une indigestion et que je mourrais en quelques instants. J’étais en train de lire la Bible où Il disait : « Quand vous demandez quelque chose, croyez que vous le recevez. »
    (Montre-nous le Père, 25 juin 1955)

    C’est seulement l’amour de notre Père qui nous aime tellement qu’Il envoie Sa Parole ; Il envoie Ses prédicateurs pour prêcher la Parole. Ensuite Il envoie des dons dans l’église, les bras tendus, essayant de faire en sorte que vous le croyiez. Il désire vous guérir ce soir, mille fois plus que vous ne désirez être guéri. Mais vous avez peur. Vous marchez selon ce que vous ressentez, parce que vous, vous avez regardé à cela ; vous avez vécu selon vos sentiments. C’est…  Votre vie entière a été enveloppée là-dedans. Mais vous devez vous éloigner de cela et agir sur la Parole de Dieu, non pas ce que vous ressentez, non pas ce que vous voyez, ce que Dieu a dit et agir là-dessus. Faites-en une confession. Confesser signifie : « dire la même chose ».
    Et il est à la droite du Père pour faire intercession sur votre confession avec Son propre Sang.
    (Jéhovah Jiré, 17 août 1955)

    Il ne peut rien faire avant que nous confessions d’abord qu’Il l’a fait. Il n’y a pas de guérison dans l’homme, il n’y a pas de guérison dans la médecine ; je vous ai prouvé cela l’autre jour. Il n’y a pas de guérison dans les médicaments, les médicaments ne prétendent pas guérir. C’est un remède, il nettoie pendant que Dieu guérit. La médecine ne construit pas des tissus, la médecine ne peut réparer un os. La médecine ne peut guérir une blessure ou une coupure. Certainement pas, elle garde simplement l’endroit propre pendant que Dieu le guérit. C’est Dieu qui opère la guérison, et le médicament le garde simplement propre. Un médecin vous dira la même chose.
    Il a dit : « Je suis le Seigneur qui guérit toutes tes maladies. » Toutes les maladies sont guéries par Dieu.
    (Les résultats de la décision, 8 octobre 1955)

    Vous avez demandé à Dieu. Jésus a dit : « Demandez ce que vous voulez au Père en Mon Nom ; Je le ferai. »
    A-t-Il pu mentir ? Il ne le pouvait et être Dieu. N’ayez pas confiance dans votre prière, ayez confiance dans ce qu’Il a dit. Il l’a dit. Tous les démons tremblent. Restez « enfermé » avec Dieu.
    Dans votre cœur, dites : « Cher Dieu, je crois maintenant. Je sais simplement que Ton grand Saint-Esprit entre maintenant en moi… »
    (Le voile intérieur, 21 janvier 1956)

    Il ne pouvait pas mourir pour les péchés sans mourir pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Maintenant, vous n’avez peut-être pas péché, en ce qui concerne le fait d’être malade ; mais ce fut à cause du péché en premier lieu, qui a amené la maladie dans le monde. Avant le péché, nous n’avions pas de maladie.
    Quand nous nous occupons du péché, nous nous occupons de la mort. La maladie et la première étape de la mort. (…)
    Un véritable docteur fera un diagnostic pour voir ce qui ne va pas avec moi. Alors il ira au fond des choses e commencera à travailler à partir de là. Eh bien, c’est ainsi que nous devons travailler dans la guérison Divine ou avec le salut de l’âme. Si un homme vient dire qu’il est grandement perturbé au sujet du salut. La première chose à faire, que vous les prédicateurs vous devez faire, est de descendre directement la ligne jusqu’à ce que vous trouviez où il est sorti du chemin ou ce qui est arrivé. Vous remontez à partir de là. C’est la même chose avec la guérison Divine. La guérison Divine n’est pas un certain pouvoir que Dieu a donné à un homme ; la guérison se trouve seulement dans l’expiation.
    (Combattant pour la foi, février 1956)

    Tout dépend où votre foi se tient. Votre salut est bon aussi longtemps que votre confession est bonne. Mais quand votre confession chute, alors votre salut est parti.
    (Vie cachée avec Christ, 13 février 1956)

    Tout est accompli, et  vous pouvez reposez votre âme sur chaque parole qui sort de la Bible de Dieu. C’est la raison pour laquelle à Mexico, la plupart des gens sont catholiques là-bas ; et alors que j’étais interviewé par un catholique, il disait : « Frère Branham, croyez-vous que nos saints peuvent accomplir des miracles ? » J’ai dit : « S’ils sont vivants, pas morts. »
    (Le puissant conquérant, 1 avril 1956)

    Jésus, le Grand Prêtre, ne peut rien faire pour vous avant que vous le confessiez, et que vous agissiez sur la base de votre confession. Hébreux, au chapitre trois, dit : « Il est le Grand Prêtre de notre confession. » Le mot est « professer », mais professer et confesser sont le même mot. « Le Grand Prêtre de notre confession. » Vous ne pouvez rien faire avant de l’avoir premièrement accepté et de confesser qu’Il l’a fait. C’est vrai. Avez-vous déjà vu quelqu’un essayant d’être sauvé ? Il marche le long en large à l’autel et pleure, et mâche du chewing-gum : « Seigneur Dieu, je Te le dis, si Tu ne me prends pas… » Il n’a pas assez de foi dans son encre pour mettre un point sur un « i ». Il s’avance simplement : « Seigneur, je Te dis que je… Je Te dis que… »
    (L’alliance de Dieu avec Abraham, 28 avril 1956)

    « Même maintenant, Seigneur, peu importe ce que le docteur dit ; ce que la science dit. Mais même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te le donnera. » Le croyez-vous ? Même maintenant, tout ce que Tu lui demanderas, Il le fera. Quelque chose doit se passer.
    (Les dons, 7 décembre 1956)

    Si Dieu a dit : « Par Ses meurtrissures nous sommes guéris », alors je dis : « Par Ses meurtrissures, je suis guéri. » S’Il a dit : « Il a porté mes péchés », je dis : « Il a porté mes péchés. » Je ne les ai plus ; Il les a porté. Il a dit qu’Il m’a guéri quand Il est mort pour moi au Calvaire avec Ses meurtrissures. Je dirais : « Il m’a guéri là. Je le crois maintenant même et je l’accepte. » Cela règle la question. Peu importe comment je me sens et de quoi ça a l’air… Si je disais : « Eh bien, regardez. Vous dites que vous êtes guéri ; et regardez, regardez votre corps. » Cela n’a rien à voir, rien à voir du tout. Dieu l’a dit. Ce n’est pas ce que je vois, c’est ce que je crois.
    (Résurrection de la fille de Jaïrus, 2 mars 1954)

    Jonas, dans le ventre de la baleine, rétrograde, la tempête sur la mer, les mains et les pieds liés, couché dans la vomissure, des algues marines autour du cou, s’il a pu regarder vers un temple, où un homme qui plus tard a rétrogradé, du nom de Salomon, a prié pour la délivrance des enfants ; combien plus devriez-vous regarder aux lieux célestes en Christ Jésus, alors que vous êtes assis dans la maison de Dieu ; là où des gens sont guéris tout le temps, et détourner les yeux de vos symptômes, pour regarder non pas vers un temple fait de main d’homme, mais vers le Ciel lui-même où Christ est assis à la droite de Dieu, avec Son Sang, pour faire intercession sur votre confession. Combien plus devriez-vous dire : « Ce ne sont que des vanités mensongères. Je ne le crois pas. » Regardez au Ciel. Cela dépend de ce que vous regardez. Si vous continuez à regarder à votre main, vous n’irez jamais mieux ; si vous regardez à la promesse de Dieu, vous êtes obligé d’aller mieux.
    (Jéhovah-Jiré, 12 juin 1957)

    Votre nom est Edna Way, vous vivez à Indianapolis. Vous habitez dans une rue appelée « Kenwood Avenue », votre numéro est 36-3726, Kenwood Avenue. Le nom de votre mari et Frank, n’est-ce-pas ? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, est-ce exact ? Vous avez touché Quelque chose… Vous avez reçu ce que vous demandez. Vous avez touché le Seigneur Jésus, le Grand Prêtre de votre confession.
    (Avoir soif de la Vie, 13 juin 1957)

    La petite dame assise là avec une chose rose sur elle, je vois la vi… Oui, c’est exact. Vous avez quelque chose qui ne va pas avec votre sein… Vous savez que vous avez touché Quelque chose. C’était Christ, le Grand Prêtre de votre confession.
    (Restez tranquilles et voyez le salut, 26 juin 1957)

    « Frère Branham, voudriez-vous guérir mon bébé ? Voudriez-vous faire ceci ? » Je souhaiterais pouvoir le faire, mais ce n’est pas en mon pouvoir de le faire. Ni dans le pouvoir d’un autre homme ; mais de Dieu seul. Pourquoi les réunions ? Afin que les gens viennent ici et que je leur impose les mains ? Ce n’est même pas nécessaire. C’est à vous, non pas de me toucher ou que je vous touche, c’est à vous de Le toucher. Là où vous êtes, regardez à Lui et dites : « Seigneur, Tu es le Grand Prêtre de ma confession. Tu es le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de mes infirmités. Je suis malade ce soir, Seigneur Jésus, je confesse maintenant ma foi et je crois que Tu m’as guéri il y a dix neuf cents ans, et je le crois maintenant et je l’accepte. » Observez ce qu’Il va faire. Il est le Même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne peut faillir.
    (Messieurs, nous voudrions voir Jésus, 4 Août 1957)

    Je crois que s’Il est le Même hier, aujourd’hui et éternellement, il doit être le Même en principe, en puissance et en toutes choses. La seule chose, Il ne pourrait le Même dans Son corps de chair. Son corps de chair est assis sur le Trône de Dieu comme sacrifice sanglant devant le Trône de Sa Majesté pour faire intercession sur notre confession. Il ne peut pas nous aider avant que nous confessions premièrement qu’Il est le Grand Prêtre de notre confession.
    (Expectatives et conduites de l’Esprit, 11 août 1957)

    Il n’y a aucune créature qui soit cachée devant Lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de Celui à qui nous avons affaire. Ayant donc un Grand Prêtre qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, tenons fermement notre confession.
    (Hébreux chapitre 4, 1 septembre 1957)

    De là vient aussi qu’Il peut sauver à l’extrême (peu importe combien nous avons été bas, combien nous sommes allés loin ; Il peut sauver jusqu’à l’extrême) ceux qui viennent à Dieu par Lui, (ce n’était pas sur notre justice, mais sur notre confession, voyez-vous, « ceux qui viennent à Dieu par Lui ») étant toujours vivant pour intercéder pour eux. (Il se tient là, faisant constamment intercession.) Car un tel Grand Prêtre nous convenait, saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, un Grand Prêtre dans les cieux.
    (Hébreux, chapitre 7, 22 septembre 1957)

    Maintenant laissez-moi vous dire ceci, il n’y a aucune bénédiction dans la Bible que vous puissez obtenir sans d’abord la confesser.
    (Jésus-Christ le Même, 14 février 1958)

    Ce soir, ne regardez pas à un prédicateur ; non pas à un de vos frères ou sœurs, mais regardez au Calvaire, regardez à Christ qui a … Non pas exactement au Calvaire. Le Calvaire est l’endroit où le prix a été payé, mais Christ est loin du Calvaire ce soir : Il est dans la Présence de Dieu, toujours vivant pour intercéder sur votre confession. L’Esprit de Christ est ici au milieu de nous, ce soir.
    (L’œil de Dieu, 25 février 1958)

    La baleine l’a gardé dans son ventre pendant trois jours et nuits, et l’a « livré » exactement au bon endroit. Dieu a simplement pris une baleine et l’a utilisée comme taxi pour le transporter de Tarse à Ninive. Et Dieu l’a gardé vivant parce que qu’il a dit : «Je ne regarderai pas mes symptômes ; je regarderai vers Ton saint temple.»
    Et si Dieu a fait cela dans ces symptômes et ces circonstances, combien plus le fera t-Il  ce soir, dans ces circonstances et avec nos symptômes, si nous ne regardons pas à un temple fait de main d’homme, mais vers le Temple des Cieux, où Christ est assis à la droite de Dieu, en train d’intercéder sur notre confession… Combien plus ne nous délivrera-t-il pas ? Je ne regarderai pas mes symptômes.
    (La reine de Séba, 3 mai 1958)

    Et si nous venons au Cep, Christ, Son Eglise, que voyons-nous ? Des histoires, des disputes sur la théologie, de la haine, de la malice, de la science. Et nous appelons cela les œuvres de Dieu. Les Ecritures disent que ce n’est pas ainsi. « A ceci tous les hommes sauront que vous êtes mes disciples, quand vous aurez de l’amour les uns pour les autres. » L’amour de Dieu dans Son Eglise, faisant de chaque membre une partie de Lui. Alors sur cet amour et sur cette fondation, vous construisez votre Eglise.
    (Jésus-Christ le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 15 mai 1958)

    Dites : « Seigneur Jésus, merveilleux Grand Prêtre de l’Alliance, je viens humblement devant Toi en confessant mon péché. »
    Maintenant, le péché, c’est l’incrédulité. Fumer n’est pas un péché, boire n’est pas un péché, commettre l’adultère n’est pas un péché. Ce sont les attributs du péché.  Si vous croyiez, vous ne feriez pas ces choses, voyez-vous ? Il n’y a qu’un péché, et c’est l’incrédulité. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » Voyez-vous ? Vous fumez, mentez, volez, buvez, commettez l’adultère parce que nous n’êtes pas un croyant. Un croyant ne fait pas cela. Il est passé de la mort à la Vie. « Celui qui entend Mes Paroles et croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle et ne viendra jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Jean 5 : 24
    (Conduit par l’Esprit, 7 avril 1959)

    Quelqu’un peut dire : « Je n’arrive pas à abandonner les choses du monde ; je ne peux faire ceci, je… » Vous ne pouvez pas ? Vous ne vous êtes simplement pas encore saisi correctement de la chose. C’est cela. Vous n’avez pas encore touché le bon vêtement. Lorsque vous Le toucher, le Grand Prêtre de votre confession, Qui est une grande Semence d’Abraham, par la promesse de Dieu, alors vous revêtez Son Esprit dans la plénitude de la puissance de Sa résurrection ; Il vous remplit et vous charge de Sa bonté et de Sa miséricorde, et de Sa puissance de foi pour appeler tout ce qui est contraire à la promesse de Dieu comme si ce n’était même pas là.
    (Jéhovah-Jiré, 17 avril 1959)

    Celui qui croit et est baptisé sera sauvé. Sortez de ce bâtiment en témoignant que vous êtes sauvé. Et si vous sortiez de ce bâtiment en disant : « Eh bien, je ne sais pas. » Alors, vous n’êtes pas sauvé. Mais Dieu fera que votre corps obéisse à votre confession. Voyez ? Et il est  le Grand Prêtre de notre confession. Avant de pouvoir être guéri, vous devez le confesser premièrement. Vous devez croire que vous êtes guéri. Et alors, quand vous croyez que vous êtes guéri, Dieu fait que votre corps obéisse à votre confession. Ainsi donc, quand vous passez par ici, que cela soit réglé, dites : « Dieu, c’est Ton commandement. Je crois que je suis guéri. »
    (Montre-nous le Père, 19 avril 1959)

    Pourrions-nous nous humilier ce soir, et être transformés par le renouvellement de notre esprit, par le Saint Esprit, afin que nous puissions livrer nos lèvres, nos yeux et votre foi et ma foi afin qu’il vienne dans cette assemblée pour se mouvoir en vous et se mouvoir en moi afin d’accomplir Sa Parole, qu’Il est un Grand Prêtre de notre confession.
    (Images de Christ, 25 mai 1959)

    Il est le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Si vous êtes malade, touchez-le ! Il agira de la même manière qu’Il le fit quand Il était ici sur terre.
    La femme a touché Son vêtement, elle est partie s’asseoir ou elle est allée dans la foule. Il s’est retourné et a dit : « Qui m’a touché ? »
    Et Pierre a dit : « Eh bien, ils T’ont tous touché ! » Il L’a repris. « Pourquoi dis-Tu une telle chose ? Il dit : « Mais je suis devenu faible. Une vertu est sortie de Moi. Quelqu’un M’a touché. » Et Il regarda autour de Lui jusqu’à ce qu’Il la trouve, Il lui dit que sa perte de sang avait cessé ; sa foi l’avait guérie. Et elle était guérie.
    S’Il est le même Jésus, et vous pouvez Le toucher  par la foi ; il n’y a pas de vêtement ici que vous puissiez toucher. Mais il y a un Dieu que vous pouvez toucher avec votre foi, avec votre doigt de foi. Le doigt de Dieu qui est en vous ; laissez-le toucher. Alors Il agira dans Ses branches. Il est le Cep. Il n’a pas d’autres membres que les nôtres, pas d’autres yeux que les nôtres pour agir ici sur la terre. Son Saint Esprit est ici pour donner l’énergie à Ses branches afin de faire les mêmes œuvres.
    (La porte du cœur, 12 mars 1960)

    Le Dieu immuable agit de manière mystérieuse pour accomplir Ses prodiges. Nous prions, O Dieu, que Ton Saint Esprit, Ton Esprit habite dans chaque cœur ici ce soir. Donne-leur le désir de leurs cœurs. Puissent-ils avoir la foi, Seigneur. Mets quelque chose en eux, un courage, afin qu’ils sachent que Tu es toujours présent, toujours vivant pour intercéder.
    Tu es assis à la droite du Dieu Tout-Puissant. Et là, à Son Trône, le précieux corps de Jésus-Christ est assis, pendant que le Saint Esprit est sur la terre. Et Il est là comme notre Grand Prêtre, pour intercéder sur notre confession ; ce que nous confessons qu’il fera ; Il est là pour l’accomplir.
    Dieu ne peut pas regarder au travers de ce Sang et voir l’injustice, parce que Christ a pris nos péchés et notre maladie. O père, Dieu, nous prions, alors qu’Il est un Grand Prêtre qui peut-être touché par le sentiment de nos infirmités, qu’Il soit touché ce soir par chaque infirmité qui est dans ce bâtiment, toutes les infirmités, qu’elles soient spirituelles ou physiques ; qu’il y ait une guérison, et qu’un réveil éclate dans cette ville ; oh, âmes après âmes, dans le Royaume de Dieu.
    (Le Dieu immuable, 26 mars 1960)

    Maintenant c’est votre foi dans cette œuvre accomplie qui fait le travail. C’est ainsi. Vous le confessez, et Il est le Grand Prêtre de notre confession.
    (C’est Moi, n’ayez pas peur, 29 mars 1960)

    Mais cela ne vous fera pas de bien à moins que vous ne l’acceptiez, que vous ne le croyiez. Vous dites : « Oui, Seigneur, j’accepte maintenant ce que Tu as fait pour moi. » Alors, vous êtes sauvé. Et ensuite vous dites : « Je désire que Tu me guérisses, Seigneur. » Il l’a déjà fait. Alors, vous n’avez qu’à accepter ce qu’Il a fait…
    Maintenant, Il ne peut rien faire pour nous jusqu’à ce que nous disions qu’Il l’a déjà fait. Nous devons le confesser ou le professer qu’Il l’a fait, alors Il peut se mettre en action et intercéder. Est-ce exact, frère ?
    (La reine de Séba, 1 avril 1960)

    Combien savent que Son corps de chair est assis à la droite de Dieu, le Père, dans la gloire, en train d’intercéder, alors que Dieu ne peut pas voir nos péchés, et Il regarde au travers du Sang de Jésus. Le rouge au travers du rouge apparaît blanc ; nous savons cela. Et au travers du Sang rouge de Christ, nos péchés rouges deviennent blancs. « Même si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige. »
    (N’aie pas peur, c’est Moi, 20 juillet 1960)

    Maintenant je sais que c’est la vérité, parce que je l’ai éprouvée. Mais, si vous avez des péchés inconfessés dans votre cœur, bien sûr, cela n’agira pas. Vous devez confesser votre péché. Croyez au Seigneur Jésus-Christ ; acceptez-Le comme votre Guérisseur tout comme vous l’avez accepté comme votre Sauveur.
    Ils disent : « La guérison Divine dure-t-elle, Frère Branham ? » Juste aussi longtemps que la foi dure. Quand vous arrivez à un endroit où vous dites que vous n’êtes plus sauvé, souvenez-vous, vous avez rétrogradé à cet endroit même. Quand votre confession chute, alors votre foi chute.
    (Jéhovah-Jiré, 3 août 1960)

    Combien plus peut-Il agir pour vous et moi quand nous refusons de regarder à nos problèmes, et encore une fois, je regarderai vers le Saint Temple, où Jésus est assis à la droite de la Majesté dans les Cieux, faisant intercession sur notre confession. Amen.
    Comment pouvons-nous regarder aux symptômes ? Je regarde à Jésus. Non pas à ce que ceci paraît, mais à ce que Cela dit. Regardez au Calvaire, au prix qui a été payé pour cela. Quelqu’un est venu me dire : « Je suis trop enfoncé, Frère Branham, Dieu ne m’a pas sauvé. » Ne regardez pas à la gravité de votre cas, regardez à la grandeur de sa bonté ! Ne vous regardez pas vous-mêmes, regardez-Le ! Les sacrificateurs ne voyaient jamais la personne pour qui le sacrifice était fait.
    (La reine du Sud, 27 novembre 1960)

    C’est la même chose avec la guérison Divine. Vous ne… Je vois des gens tout excités et essayer de …  ils sont nerveux et disent : « Oh, si je pouvais seulement… » Vous savez, vous passer simplement au-dessus. Vous le laissez derrière vous. Vous allez là, excité, et vous essayez d’atteindre quelque chose, alors que c’est juste ici près de vous. C’est juste simple. Dites simplement : « Merci, Père. Tu  me l’as promis. Je le reçois maintenant. » C’est tout ! Observez ce qui arrive. Maintenant, pensez-le dans votre cœur. Continuez simplement à le dire, encore et encore. Dites… Si vous ne le croyez pas d’emblée, continuez à le dire jusqu’à ce que vous le croyiez. « Je te remercie, Seigneur, de m’avoir guéri. » Qu’est-Il en effet ? « Il est le Grand Prêtre de notre confession. »Est-ce exact ? Hébreux 3. Très bien. Il est le Grand  Prêtre de notre confession. Alors Il ne peut rien faire pour vous, Il ne peut faire aucune intercession avant que premièrement vous ne confessiez que c’est fait. Maintenant, est-ce scripturaire ? Le Grand Prêtre de notre confession. Alors Il peut seulement agir quand nous confessons.
    Maintenant, si vous dites : « Seigneur, j’ai perdu la joie de mon salut. Je désire que Tu… Je regrette d’avoir été absent de la réunion de prière. Mercredi soir, je retournerai (ou mardi, quel que soit le jour), j’y serai à nouveau. » Très bien. Pensez-le. Croyez-le. Dites :  « J’ai confessé que j’ai tort. » Maintenant commencez à agir là-dessus. Christ commence à intercéder pour vous. Ensuite, dites : « Je suis un pécheur. Je regrette d’avoir péché, Seigneur. Je vais être un chrétien à partir de maintenant. » Alors, voyez-vous, vous avez fait votre confession. Commencez directement avec cela.
    Si vous êtes malade, dites : « Seigneur, Tu es mon Guérisseur. Si j’ai péché pour que ceci vienne sur moi, pardonne-moi. Seigneur, je Te prends à Ta Parole. Tu as dit que Tu me guérirais. Je le crois. Tu es le Grand Prêtre de ma confession. Maintenant je confesse que par Tes meurtrissures, je suis guéri. Merci, Seigneur. » Allez-y directement, voyez-vous. Alors Il peut agir là-dessus et commencer à vous guérir. Voyez-vous ce que je veux dire ?
    (Pourquoi ? 28 janvier 1961)

    Je ne fais que Te citer, en confessant ce que dit la Bible, que Tu es maintenant un Grand Prête de notre confession. Je confesse Ta Parole, que Tu es le Même hier, aujourd’hui et éternellement. Parle, Seigneur Dieu, et que les gens sachent que Tu as donné le Message, et non pas Ton serviteur. Accorde-le Seigneur. Nous remettons tout entre Tes mains, maintenant, je ne pourrais rien dire d’autre. Et une Parole de Toi sera plus que n’importe quel prédicateur pourrait prêcher en un million d’années.
    (Nous voudrions voir Jésus, 8 févier 1961)

    Voici une petite instruction que je pourrais donner aux malades. Vous pourriez venir ici, on pourrait prier pour vous, des Anges pourraient vous imposer les mains, et cela ne vous fera aucun bien à moins que vous le croyiez premièrement, l’acceptiez et le confessiez. Car Il est le Grand Prêtre de notre confession. Nous devons le confessez premièrement, avant qu’il puisse témoigner de cela devant Dieu. Car Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession de ce qu’Il a fait  pour nous. Donc, qu’est-ce que la guérison Divine ? Cela veut-il dire que nous devions attendre demain soir pour être guéris ? Non, monsieur. Dois-je venir à l’église ? Non, monsieur. Au moment où vous croyez Dieu et où vous l’acceptez comme  votre  propriété personnelle, c’est terminé au moment même. …/…
    Que vous soyez en train de descendre la rue ; où que vous soyez, dès l’instant où vous l’acceptez, c’est alors que vous avez fait demi-tour.
    (Abraham restauré, 11 février 1961)

    A moins de croire et d’accepter Sa grâce qui pardonne, nous sommes encore perdus. Peu importe la force avec laquelle nous pouvons crier, combien de temps nous pourrions rester, combien de temps nous pourrions nous passer de nourriture, jusqu’à ce  que dans nos cœurs… Dieu nous donne la révélation que Jésus-Christ est mort pour nous sauver, et que nous l’acceptions comme notre propriété personnelle. C’est quelque chose que Christ a fait pour moi, pour vous, et pour quiconque le croira. Alors vous êtes sauvé parce que vous l’avez cru et vous êtes guéri de la même manière. Souvent les gens disent : « J’aimerais sentir que je suis guéri. » Jésus n’a jamais dit : « L’as-tu senti ? » Il a dit : « L’as-tu cru ? » C’est ça. « Le crois-tu » Sentir n’a rien à voir avec cela ; c’est votre foi. Si j’avais agi comme je me sentais, j’aurais été dans un triste état bien des fois. Est-ce vrai, les frères ? Je pense que c’est ainsi pour nous tous. Mais ce n’est pas comment je me sens, c’est ce que je crois qu’Il a fait. Non pas mes sensations, c’est ma foi dans une œuvre achevée au Calvaire.
    (Expectatives, 8 mars 1961)

    Oh, Semences d’Abraham, ne voulez-vous pas recevoir le sacrifice de Jéhovah qui a été déchiré en deux au Calvaire ? Une partie se trouve là, au Trône de Dieu, à la droite, le Grand Prêtre intercédant sur votre confession. Le Saint-Esprit est ici pour veiller sur Sa Parole dans Son église. Croyez-la et recevez-la, voulez-vous ?*
    Croyez-vous qu’Il est le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités ? Alors priez, demandez-Lui et touchez-Le, dites-Lui : « Seigneur, Frère Branham, vient de nous dire que Tu es ici avec nous. Et je suis une partie de Toi, si Frère Branham est une partie de Toi. Frère Branham, Ton serviteur. Et maintenant, si Tu veux simplement parler par lui, comme Tu l’as fait avec Ton fils, Jésus. Il est Ton fils adopté. Je suis Ta fille adoptée, Ton fils adopté. Mais Tu nous as dit que ce serait un signe pour nous, au temps de la fin. »
    (Le fidèle Abraham, 12 mars 1961)

    O Dieu, nous confessons ce soir que nous ne sommes dignes d’aucune bénédiction et nous ne sommes pas dignes d’être appelés chrétiens, parce que cela vient du mot « comme Christ ». S’il Te plaît, pardonne-nous nos manières horribles.
    Nous savons que le plus grand péché et le seul péché qu’il y ait est le péché d’incrédulité. Peu importe la qualité de notre vie, notre fidèle assistance à l’église, la manière dont nous prêchons l’Evangile, si nous ne croyons pas chaque mot de la Parole de Dieu et si nous n’agissons pas en conséquence, nous sommes encore des pécheurs. Tu l’as dit. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » Ainsi, je Te prie, Père, de nous donner la foi.
    (Il n’en était pas ainsi au commencement, 11 avril 1961)

    Jésus est un Grand Prêtre assis à la droite de Dieu pour intercéder sur notre confession. Je sais que la « King James » dit professer, et confesser est le même mot, mais une confession. Et il ne peut rien faire pour nous avant que vous le croyez, que vous l’acceptiez et confessiez que c’est juste. Alors Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur ce que vous confessez qu’Il a fait pour vous. C’est simplement aussi chair que ma connaissance de l’Evangile. C’est… franchement, c’est tout ce que je… C’est le seul Evangile qu’il y ait, c’est cela.
    (N’aie pas peur, 14 avril 1961)

    Jésus est à Sa main droite, avec Ses vêtements ensanglantés, faisant intercession pour notre profession, assis comme un Grand Prêtre sur un Trône. Les symptômes ne signifient rien pour nous alors. Dieu, l’a dit, et c’est tout.
    Jésus est assis là ce soir, pour faire valoir votre confession devant Dieu. Il est un Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession. Nous devons le croire et confesser que c’est ainsi, et ensuite Jésus peut agir là-dessus pour vous.
    (Un plus grand que Salomon est ici, 15 mai 1961)

    Venir ici à l’autel et prier toute la nuit ne nous ferait pas de bien à moins que vous ne croyez qu’Il vous pardonne ; ensuite vous vous levez. Alors, avec la foi que vous avez, c’est là où… Vous viviez dans la boue du péché. Maintenant, vous les jeunes convertis, vous croyez que vous êtes sauvés, n’est-ce pas ? Ensuite vous vous êtes élevés ici, vous vous êtes élevés un peu plus haut. Qu’est-ce qui a fait cela ? Votre foi, parce que vous croyez que vous êtes un chrétien maintenant, vous allez vivre au-dessus de cette chose-là maintenant. Voyez-vous ? Maintenant, si vous voulez vous élever un peu plus haut, ayez simplement plus de foi, parce que c’est sans limite, continuez simplement à avancer.
    (Le Message de grâce, 27 août 1961)

    Et maintenant, à la droite de Dieu, à la main droite de Sa puissance et majesté, Jésus règne. Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession quand nous acceptons Sa Parole, La croyons dans notre cœur ; nous La recevons là-dedans et nous ne nous rétractons pas, mais nous croyons exactement que cela va arriver. La véritable semence d’Abraham tiendra fermement à cette Parole. Peu importe le temps que cela prend, Il La fera s’accomplir. Il n’y a pas l’ombre d’un doute nulle part. il La fera s’accomplir.
    (Confirmation de la commission, 22 janvier 1962)

    L’union : dire la même chose que Dieu dit ! Et c’est la confession. Confesser signifie : « dire la même chose ». Et Il est le Grand Prêtre de notre confession, pour agir sur qu’Il a dit. Nous disons que c’est la Vérité, et Il agit là-dessus. Oh, là là ! Vous y voilà.
    (Unité, 11 février 1962)

    Confesser signifie « dire la même chose » : « Par ses meurtrissures, je suis guéri », voyez-vous, « maintenant, par Sa Vie, je suis sauvé. » Et maintenant nous devons d’abord le confesser, et Il est assis comme Médiateur, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes, et Il est assis là pour intercéder sur ce que nous confessons qu’Il a fait. Quelle chose claire, solide !
    (Jéhovah Jiré, 1ère partie, 5 juillet 1962)

    Chaque péché dans le monde a été pardonné quand Christ est mort au Calvaire. Croyez-vous cela ? Il y a une expiation de sang sur l’autel pour les péchés du monde. Mais cela ne vous fera aucun bien à moins que vous ne l’acceptiez et le confessiez. Et Il ne peut pas agir avant que vous ne le disiez premièrement et que vous ne l’ayez accepté par la foi.
    Alors Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession. Voyez-vous, Il ne peut pas bouger, Il est lié, Il ne peut rien faire à moins que vous ne l’acceptiez et le confessiez, et que vous le croyez de votre cœur. Alors cela Le touche, et ensuite Il peut agir là-dessus et intercéder pour vous.
    (Nous voudrions voir Jésus, 12 juillet 1962)

    Et ce soir, Il est encore le Grand Prêtre de notre confession, tout aussi grand qu’Il  l’a jamais été. Maintenant, nous devons nous laisser être Ses serviteurs. Il est le Cep, la source de Vie. Nous sommes les branches qui reçoivent cette Vie. Et la branche porte les fruits, pas le cep. Et maintenant, Christ agit au travers de Son Eglise. Et alors, si nous pouvons nous livrer nous-mêmes d’une telle manière que le Saint-Esprit puisse nous prendre complètement sous Son contrôle dans notre foi en Christ, Il fera la même chose, parce que c’est Christ.
    (L’influence d’un autre, 13 octobre 1962)

    O Dieu, donne-nous des hommes et des femmes avec une foi rude, qui ne regarderont pas aux symptômes ou à rien de ce que le Diable vous présente. Rendez-le lui ! Dites : « Je crois dans la résurrection de Jésus-Christ. Je crois dans Sa puissance toute suffisante. Je crois que Sa présence est ici maintenant pour me libérer de tout esclavage que Satan a mis sur moi.
    (Un plus grand que Salomon est ici, 5 juin 1963)

    Si vous avez purifié votre cœur, tout est confessé, vous l’avez déjà mis sur l’autel. Maintenant, Il est le Grand Prêtre de votre confession. Il ne peut vous aider que si vous le croyez. Si vous avez confessé vos péchés, si vous avez confessé vos torts, si vous avez tout fait, confessez que vous avez été trop négligent, quoi que ce soit que vous ayez confessé, maintenant cela est déposé sur l’autel du sacrifice. Maintenant posez vos mains sur Jésus et identifiez-vous. Identifiez-vous par la foi. Posez vos mains sur Jésus. Et alors, quand vous le faites, regardez à Lui et dites : « Je le reçois, Seigneur. Je Te crois maintenant. »
    (Conférences, 8 juin 1963)

    Il ne peut pas vous aider à moins que par la foi, vous l’acceptiez d’abord et que vous témoigniez publiquement qu’Il est votre Sauveur. Si vous témoignez de Lui ici… Si vous avez honte de Lui, Il aura honte de vous là. Si vous n’avez pas de honte de Lui ici, alors Il n’aura pas honte de vous là. Je pense, à la fin de cette réunion, que chacun de vous qui avez accepté Christ comme votre Sauveur, devriez venir à cette plate-forme pour dire ce que Dieu a fait dans votre cœur.
    (Appeler Jésus sur la scène, 4 août 1963)

    Un pécheur pourrait venir ici à l’autel étant jeune homme ou une jeune fille de quatorze ans, et on vous apporterait vos repas ici, et vous pourriez criez au Seigneur jusqu’à ce vous ayez quatre-vingt dix ans, vous ne seriez jamais sauvé. Mais le… Vous devez premièrement accepter ce qu’Il a fait pour vous, voyez-vous. Vous devez l’accepter vous-même. Alors, quand vous l’acceptez, alors Il est un Grand Prêtre, un Médiateur, pour intercéder sur votre confession de ce que vous croyez.
    (Appeler Jésus sur la scène, 19 mars 1964)

     

    omme J'ai été avec Moïse, 3 mai 1951

     




  • 26/02/2010
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